Michelangelo

époque. C’est alors que les «15 minutes of fame» ont apparues. À cette époque, le monde cherche a être reconnu, de vivre comme une célébrité et de posséder tous les pouvoirs que peuvent avoir une vedette. En fait, le film «Blow up» réalisé par Michelangelo Antonioni défend les réalités sociales et tente de défaire l’image qu’on a de la célébrité et du conformistes. L’une des première scène du film démontre minutieusement cette lutte. Cet extrait se situe à Londres dans les années 60, un photographe

permettent de justifier les mesures antijuives du moment. Diffusé sur une large échelle, attirant au total plus de vingt millions de spectateurs en Europe, le film fut un succès. Présenté à la Mostra de Venise, salué dans ses critiques par le jeune Michelangelo Antonioni, il attira près de 20 millions de spectateurs dans l'Europe entière dont un pour la seule France. Accueil ambivalent. Car si le film fut sifflé à diverses reprises, il suscita à minima un succès de curiosité. Quant à Veit Harlan, il fut

sketch de Le Diable et les Dix Commandements réalisé par le vétéran Julien Duvivier (où il séduit Danielle Darrieux), pas plus que Les Amours célèbres, ne figurent parmi ses films marquants. En 1962 il joue au côté de Monica Vitti, dans L'Éclipse de Michelangelo Antonioni, film qui obtient le Prix Spécial du Jury du Festival de Cannes. La chanteuse allemande Nico avec qui il a eu une liaison, met au monde Christian Aaron Boulogne, dit Ari Boulogne, le 11 août 1962. En 1963 il joue dans Le Guépard de Luchino

artistique? D’après lui l’oeuvre doit stimuler l’envie de se surpasser. C’est-à-dire vouloir me révéler « le mystère, sans détours, sans tréfonds, sans réserves ». Seule une bonne œuvre sucite cet état. Il existe aujourd’hui de tels films. Blow-up de Michelangelo Antonioni requière notre participation à l’histoire. Il semble nous raconter l’histoire d’un photographe de mode banal, mais en fait il nous demande de comprendre en même temps que Thomas, le mystère qu’il va découvrir. cela démontre que les

de diplomatie et un peu plus de cinéma, devient réalité. Les plus grands cinéastes y présentent certaines de leurs œuvres majeures : Roberto Rossellini, Federico Fellini, Ingmar Bergman, Elia Kazan, Joseph Mankiewicz, Robert Wise, William Wyler, Michelangelo Antonioni, Vittorio de Sica, Andrzej Wajda, Satyajit Ray, Luis Buñuel ou encore Akira Kurosawa. B) Les évolutions et les différentes ambitions du festival En 1959, pour la première fois , un critique, François Truffaut va dénonçer un festival

Blow-up L’affiche italienne du film : Avant de regarder le chef d’œuvre de Michelangelo Antonioni, « Blow-up », je me suis beaucoup intéressé à l’affiche italienne du film. Elle met en scène le personnage principal Thomas, qui prend en photo un beau mannequin blond, en robe noire élégante à manches courtes. Le photographe, en chemise ouverte, enjambe le modèle qui est allongé. En le regardant nous pouvons remarquer sa spontanéité, car il ne se gêne pas d’adopter une telle posture. La femme courbe

le secche risposte del piano usato in maniera percussiva più che melodica. Il tutto suona molto moderno e dissonante. CRONACA DI UN AMORE prodotto da F. VILLANI con MASSIMO GIROTTI e LUCIA BOSÈ Soggetto di Michelangelo Antonioni Scorci di città Sceneggiatura di Michelangelo Antonioni D. D'Anza S. Giovanetti F. Maselli P. Fellini Pausa poi la musica cambia il sassofono e il piano diventano più lirici e sognanti quasi in una virtuosa danza d'amore Aiuto regista MASELLI Fotografia

filmographie qui en font un monstre sacré du cinéma français. Impossible d'évoquer sa filmographie sans citer dans les années 60 : « Plein soleil » de René Clément, les « Rocco et ses frères » et « Le Guépard » de Luchino Visconti, « L'éclipse » de Michelangelo Antonioni, « Mélodie en sous-sol » d'Henri Verneuil, « Paris brûle-t-il » de René Clément, « Le samouraï » de Jean-Pierre Melville, « La piscine » de Jacques Deray. Dans les années 70 : « Borsalino » de Deray avec Jean-Paul Belmondo, « Le

Analyse de la situation initiale dans Profession : Reporter, de Michelangelo Antonioni (1975) Problématique proposée : établir un parallèle avec l’incipit de L’Etranger, d’Albert Camus. L’idée est que les deux œuvres entrainent le lecteur et le spectateur dans une posture particulière qui les contraint à lire et regarder autrement. Premier plan : la caméra ne se rapproche pas du personnage principal qui arrive en Jeep. Contrairement aux usages qui demandent une focalisation progressive mais

Casque d'or, Jacques Becker ; La Comtesse aux pieds nus, Joseph Mankiewicz ; Les Contrebandiers de Moonfleet, Fritz Lang ; Madame de…, Max Ophuls ; Le Plaisir, Max Ophuls ; Voyage au bout de l'enfer, Michael Cimino. 16e ex aequo : L'Avventura, Michelangelo Antonioni ; Le Cuirassé Potemkine, S. M. Eisenstein ; Les Enchaînés, Alfred Hitchcock ; Ivan le Terrible, S. M. Eisenstein ; Le Parrain, Francis Ford Coppola ; La Soif du mal, Orson Welles ; Le Vent, Victor Sjöström. 17e ex aequo : 2001 : L'Odyssée