Moralement Acceptable Selon Kant

de la nature humaine, n'avait-elle pas besoin d'encouragement? Il est alors justifiable de se poser la question suivante : est-il éthiquement acceptable de tuer une personne pour abréger les souffrances de celle-ci? Pour mieux répondre à ces questions, il est nécessaire de relever les normes et les valeurs impliquées dans le problème. Premièrement, selon tout code pénal, il ne faut pas tuer un autre citoyen. Nous retrouvons donc la valeur de la vie. La dignité humaine peut aussi entrer en ligne

atteindre la vérité dans la domaine métaphysique ? D’après Kant, la métaphysique est un « champ de bataille », « un théâtre de combats sans fin ». Combat : entre thèse (âme immatérielle et immortelle) et antithèse (l’âme est matérielle et mortelle). Sans fin : parce qu’il est impossible de savoir laquelle des deux est vraie (pas de possibilité de faire une expérience dans le domaine de la métaphysique (différent de la physique)) . Pour Kant, la métaphysique ne peut pas faire l’objet d’une connaisance

mal dès le plus jeune âge et de diriger leur vie pratique, et que celle-ci est est singulière et particulière à chacun ce qui peut nous amener à penser que la morale est individuelle et personnelle. Ainsi, chaque individu agirait selon ce qu'il juge être bon et donc selon une morale qui lui serait propre et des règles de conduite qu'il se serait lui-même fixées. Néanmoins, l'objection que nous pouvons émettre à cela est que si chacun a sa morale alors cela nous amène à penser une pluralité de morales

La Moralité selon Kant I. Les paradoxes de la moralité Selon Kant la moral est une intuition évidente qui s’impose à chacun, aujourd’hui une évidence donné a la conscience et sur le fait de la moral, nous essayons de construire des éthiques, rapidement la distinction entre moral et éthique est très dure . Ethique d’éthos = les mœurs. Moral = morales = les mœurs aussi. L’étymologie ne peut rien apporter. Sur les pratiques philosophiques peut être une différence, des titres d’ouvrage philosophique

faut donner aux jeunes parce qu'on sait qu'à cet âge ils sont facilement influencés par la télévision et la musique. C’est pourquoi on peut voir de nos jours des jeunes filles de moins en moins habillés et qui ont des relations sexuelles très jeunes. Selon Freud, l'énergie sexuelle est un instinct primaire de l'être humain. Il s'agit donc d'une chose naturelle. Plusieurs institutions comme l'église ou encore le mariage ont été créé pour détourner cette énergie .L'énergie qui n'est pas dépensée dans

« Qu’est-ce qu’une personne vertueuse ? » Donc qu’est ce qu’un bon manager. * Le courant déontologique Emmanuel KANT, Philosophe allemand (1724-1804) Une action est morale si elle respecte à la lettre les codes, les règles de la profession. Ce qui prime sont les règles et les sens du devoir. On porte beaucoup moins d’attention au résultat qu’aux actions. KANT appelle « devoir » le fait de se conformer aux règles d’une profession. Pour lui ça ne doit pas être une obligation pour l’individu

conceptions s’oppose de fait à ceux qui ne jugent pas comme lui et il peut être tenté de se servir de son pouvoir pour contraindre les récalcitrants à adopter des croyances morales plus vraies. Un Etat partial (paternaliste) est un Etat despotique (Kant, Projet de paix perpétuelle). 3)La possibilité d’une philosophie morale : Si la morale peut être définie comme l’ensemble des devoirs auxquels les hommes doivent obéir afin de vivre conformément au bien, alors la philosophie morale doit avoir

en ce sens qu’elle réduirait l’homme à un instrument, même lorsque les finalités visées sont, en elles-mêmes, bonnes. C’est du moins ce que prétendent les autorités politiques. Ont-elles raison? C’est la question que nous aimerions examiner. 2. Kant et la dignité de l’être humain Qu’est ce que la dignité humaine? Pour commencer, il faut être attentif au fait que cette expression a deux sens principaux dans son acception morale, la seule qui nous intéresse (par opposition à son acception

verrons que le plaisir est acceptable lorsqu’il accompagne la vertu, mais nous nuancerons en disant que tout plaisir n’est pas forcément bon. N’existe t-il pas des plaisirs que l’on pourrait qualifier de bons et d’autres de mauvais ? Epicure, l’un des premiers penseurs du plaisir, fait une distinction entre ceux-ci, car tous ne se valent pas. Abordons alors l’existence de plaisirs plus valorisants. L’éthique d’Epicure est un hédonisme qui se fonde sur la thèse selon laquelle « le plaisir est

raisonnement économique. L'économie est une science morale regroupe deux essais. Le premier, « la liberté individuelle:une responsabilité sociale » consiste à montrer que la liberté individuelle est une condition sine qua non d'une société moralement acceptable. Le deuxième, « responsabilité sociale et démocratie: l'impératif d'équité et le conservatisme financier », traite du dilemme qui tourmente une société entre d'une part responsabilités sociales (c'est-à-dire mesures visant à l'équité dans la