Moralement Acceptable Selon Kant

mettre en quête d’une meilleure réponse. La partie III fait exception : vous pouvez « oublier » ses limites (sinon, on ne comprendrait pas pourquoi vous arrêtez votre réflexion sur une réponse insatisfaisante…). Le développement peut se faire selon deux démarches : « polémique » ou « complémentarité ». La « polémique » consiste à opposer des thèses entre elles. La complémentarité consiste à « progresser » d’une thèse partielle, incomplète, pauvre à une thèse plus riche, plus raffinée en prêtant

de savoir si le bonheur lui-même est accessible. Pour les philosophes eudémonistes de l’Antiquité, le bonheur est le souverain bien de l’existence humaine et l’action vertueuse le procure au sage. Mais, savons-nous bien ce que recouvre le bonheur ? Kant, dans les Fondements de la métaphysique des mœurs, déclare que le bonheur est un « idéal de l’imagination » qui est indéfinissable. Il est par conséquent inutile de fonder son existence sur la poursuite d’un bien qui, pour le coup, apparaît comme une

Dans La Nouvelle Héloïse, Rousseau déclarait « « Malheur à qui n’a plus rien à désirer ! » Cette formule introduit le problème du désir car selon Rousseau l’absence de désir amènerait au malheur. Mais y-a-t-il de bons désirs ? D’un côté il peut sembler qu’il existe de bons désirs car le principe même du désir est de ressentir une tentation pour quelque chose que l’on sait source de satisfaction pour soi. D’un autre côté, le désir que l’on juge bénéfique pour soi peut aller à l’encontre de nos semblables

changeant bien que permanent du droit. La différence se situe aussi au niveau du contenu. La morale se préoccupe principalement des devoirs de l'homme face à lui-même, la collectivité, voire Dieu, tandis que le Droit se contente d'établir des règles moralement neutres dont le seul but est de réglementer la collectivité. Elle se retrouve encore au niveau de la sanction, interne dans le cadre de la morale (conscience) et externe dans celui du droit (sanctions des violations). Ces deux notions sont donc

depuis plusieurs année à travers l’avancement des sciences et des techniques permet d’atteindre l’idéal que les hommes se fixent, ils pourront donc arriver à combler tous les désirs (=atteindre le bonheur). Leur conduites pourraient donc être moralement bonnes. ex. Les pays développés ont plusieurs machines qui leurs permettent d’accéder à un mode de vie supérieure. LEVI-STRAUSS : Dés qu’une civilisation n’est pas très développée sur le domaine de la technique, on a tendance à la marginaliser

où la décision politique atteint immanquablement sa fin désirée, et avec ce seul facteur on peut dire que la fin justifie les moyens. Mais les moyens sont décidés en fonction des jugements de valeur, qui détermine si leur mise en place est moralement acceptable ou pas, et donc se posera la question de savoir si la fin justifie réellement les moyens. La philosophie de l'histoire permet de déterminer vers quelles options se tourner, en considérent aussi bien les moyens que la fin. Ainsi en reprenant

schéma reste le même. En effet , ils s débarrassent de dieu mais il le remplace par une idée de nature humaine. Cette idée est l’humanisme des lumières ; les hommes sont naturellement égaux. Mais cette nature conditionne l’existence humaine. Mais selon Sartre notre rapport au monde n’est pas conditionné par quoi que ce soit. Sartre va donc être contre tout ce qui conditionne l’existence humaine. Huitième paragraphe : Dans ce 8ème paragraphe , Sartre explique de façon plus théorique l’existence

moyen pour apprendre a se connaître,c’est de chercher a comprendre autrui »andré Gide Rapports avec autrui « le devoir et le bonheur consistent également a vivre pour autrui » « Il (l’homme)abuse a coup sur de saliberté a l’égard de ses semblables »Kant « l’homme est non seulement un animal social,mais un animal qui ne peut s’individualiser que dans la société »Marx Le sujet La conscience ***/** 1. Conscience morale, conscience psychologique [pic]  Le terme "conscience" peut sembler simple

point de vue de sauver les chimpanzés. Hypothèse Sonia: Personnellement, cette expérience me pose problème. En effet, jeter les chimpanzés par-dessus bord ne me paraît pas moral, étant donné leur bonne santé et leur vivacité. Il n'y a aucune raison selon-moi de les considérer comme inférieurs à l'homme. Pourtant, je ne me sentirais pas capable de sacrifier les vieillards afin de les sauver étant donné qu'ils sont tout de même humains. Je pense cependant que je préférerais au final sauver les chimpanzés

faire montre à son égard de bienveillance, bref, de tolérer quelquefois ce que Kant nomme ironiquement le « prétendu droit de mentir par humanité » ? Comment est-il possible que la vérité, en droit universelle, ne soit pas toujours publiable ? Comment « privatiser » la vérité au point de justifier la notion de secret, c’est-à-dire l’idée d’un « mensonge par omission » qui serait, non seulement admissible moralement, mais inattaquable légalement ? Au point que dire la vérité serait parfois se