Niveau de vie

limites : le rapport entre le niveau de vie minimum des 10 % les plus riches et le niveau de vie maximum des 10 % les plus pauvres. Tout cela, après impôts directs et prestations sociales. Depuis 1970, les inégalités relatives de niveau de vie ont diminué jusqu’à se stabiliser ces dernières années. Cependant en regardant de plus près les chiffres en Euros (en écart absolu), on arrive à une conclusion complètement différente. Entre 1999 et 2009, le niveau de vie des 10 % des plus pauvres a augmenté

urbaines) et du GSPE-PRISME (Politique, religion, institutions et sociétés : mutations européennes). La mixité sociale consiste, en une zone géographique donnée, en ce que des personnes issues de catégories socio-professionnelles différentes (niveau de vie, cultures et/ou origines nationales) se côtoient, ou cohabitent. La mixité sociale engendre des quartiers hétérogènes peuplés d'habitants distincts par leurs revenus ou leurs origines. Le brassage social est facilité par les législations, mais

logiciel Deep Blue gagne le match contre le champion du monde d’échecs Garry Kasparov (1997) * Généralisations de la téléphonie mobile, de l’Internet, des ordinateurs individuels. Le progrès technique participe à une évolution des conditions de vie : la distribution de l’eau courante chez les particuliers résulte d’une alliance entre la Technique, la Science et l’Organisation sociale. L’usage du microscope (progrès technique) et les progrès de la méthode scientifique ont permis de prouver la prolifération

de nombreux avantages : elle permet de fournir de l’eau régulièrement aux agriculteurs et de moins faire dépendre leurs activités des aléas climatiques ; elle contribue à créer de l’activité et de l’emploi urbain ; elle permet de réduire en aval le niveau de pollution de l’eau rejetée par les villes. Mais cette technique implique que les activités agricoles se situent en périphérie des zones urbaines, et sa mise en oeuvre repose sur une capacité de planification urbaine et une appropriation par les

services obtenus gratuitement ou pratiquement, c’est-à-dire à un prix ne couvrant pas leur coût de revient de production. LA SITUATION ACTUELLE DE LA CONSOMMATION DES MENAGES 1. Explication de la baisse des dépenses et en fonctions du niveau de vie. La baisse des dépenses des français pour ces dernières années s’explique par la diminution du pouvoir d’achat car celui-ci se réduit lorsque les prix à la consommation augmentent plus vite que les revenus. Le problème est que les prix augmentent

inégalités de niveau de vie évoluent peu pour 90 % de la population mais elles se creusent avec les plus aisés. Le seuil de pauvreté à 60 % de la médiane correspond à un niveau de vie de 908 € par mois. 13,4 % de la population, soit 8 millions de personnes, vivent au-dessous de ce seuil. Pour évaluer les inégalités de revenus on peut utiliser un indicateur qui s'appelle "l'inter-décile". Ce dernier permet de mesurer les inégalités de revenus en comparant le rapport entre le niveau de vie minimum des

biens et services marchands dans une économie sur une période donnée, généralement longue. PIB (produit intérieur brut) : c’est l’un des agrégats majeur des comptes nationaux. Il mesure la production économique réalisée à l’intérieur d’un pays. Niveau de vie : fait référence à la qualité et à la quantité des biens et services qu’une personne ou une population peut s’approprier. Bien de consommation : désigne un produit fabriqué destiné au consommateur final. Banque mondial : regroupe 5 institutions

biens et services durant une longue période • Une élévation du niveau de vie matériel moyen d’une population I. Croissance et niveau de vie La création de richesse permet la distribution aux agents économiques et la satisfaction de leurs besoins individuels et collectifs par la consommation Le niveau de vie mesure le bien-être matériel sur la base du niveau de revenu. L’augmentation des revenus augmente le niveau de vie : si le revenu réel par habitant augmente, il y aura plus de consommation

les échelles des espaces, des acteurs en interrelation. Cette intégration au processus reste cependant inégale. Développement : Il s’agit là aussi d’un processus ; le développement peut être considéré comme l’amélioration des conditions de vie et d’existence d’une population. Le développement se mesure à l’aide d’indicateurs et de critères sociaux, économiques, démographiques... Le sujet suppose que toute la planète n’ait pas accès à ce développement Il s’agira donc d’identifier les niveaux

liée a une mobilité sociale et grâce a celle-ci c’est développé la classe moyenne. Il y a eu un phénomène de moyennisation, où la hausse générale du niveau de vie a partiellement gommé les inégalités sociales d'une petite partie de la population simultanément à une forte croissance du PIB. On va avoir un rapprochement des niveaux et des modes de vie (60’s l’école se démocratise), et on retrouve donc un phénomène d’homogénéisation. De plus, les syndicats vont disparaitre et les ouvriers entrent à