Pacifisme

par de nombreuses alliances et traités entre les Etats. B) Le mouvement pacifiste des années 20 : Le pacifisme des années 20 est montré, tout d’abord par le pacte de la Société des Nations où les nations s’engagent à la transparence de leurs actes afin de limiter les tensions, nous pouvons remarqués que cette mesure est directement héritée du discours des 14 point de Wilson. Mais le pacifisme des années 20 est également montré par plusieurs actions des différents pays du monde, par exemple ; lors

privations imposées à tous C La mort partout présente Chapitre 4 > Une société profondément bouleversée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105 A Le culte du souvenir B Une nouvelle conception de la société C L’ère du pacifisme © Cned – Académie en ligne Séquence 5-HG13 93 ntroduction Sans l’avoir directement provoqué, tout en y étant préparés, les Français se trouvent par le jeu des alliances engagés dans un combat qui à l’origine présentait tous les caractères d’un

dit Alain, que notre pensée adopte une certaine démarche puisqu’il n’est jamais question de penser n’importe comment. C’est dire non à la nature et oui à la culture et à l’apprentissage (acquis). A l’approche de la guerre, Alain milite pour le pacifisme. Lorsque la guerre est déclarée, sans renier ses idées, il s’engage pour satisfaire ses devoirs de citoyen. Il a été brigadier de l’artillerie et démobilisé en 1917 avec un pied broyé. Ayant vu de près les atrocités de la Grande Guerre, Alain

ordre. Cinq d'entre elles apparurent avant la première guerre mondiale : - Pacifisme religieux (objection de conscience) - Mouvement Libéral International, originellement appelé « Pacifisme » - Anti-conscriptionisme - Antimilitarisme (résistance socialiste à la guerre) - Internationalisme Socialiste Entre les deux guerres mondiales deux traditions supplémentaires sont apparues; - L’antimilitarisme féministe - Le pacifisme radical, inspiré par la non-violence de Gandhi. Après la deuxième guerre

chacun aille les mêmes droits. Il voulait intégrer les noirs dans le mode de vie déjà instauré des Blancs. De plus, tout en faisant preuve d’intégrationnisme, il fait preuve de pacifisme. Le pacifisme peut être décrit comme une recherche de paix entre les nations ainsi que le rejet de la guerre. Un exemple de ce pacifisme serait lorsque Martin Luther King fait un discours qui met en doute la guerre au Viêt Nam. Luther King prône une non-violence face à la résolution de problème, tout le contraire

Il rompt avec le groupe surréaliste quand celui-ci se rapproche du Parti Communiste en 1929. En 1934, il adhère au Comité de Vigilance des Intellectuels antifascistes et à l'Association des Écrivains et Artistes Révolutionnaires. Il abandonne son pacifisme pour l'action antinazie. Il se bat dans l'armée française en 1939-40. Il continue d'être journaliste sous l'occupation et ce travail lui permet de couvrir ses fonctions dans le réseau de résistance AGIR auquel il appartient à partir de juillet 1942

CONCLUSION La Guerre d’Otto DIX est une œuvre que l’on peut qualifier d’engagée, c’est en quelque sorte un acte politique par lequel l’artiste énonce très clairement son dégoût de la guerre et le pacifisme qui en est la conséquence. Mais son intention ne se limite pas à cette « déclaration de pacifisme » car il souhaite également nous convaincre, nous spectateurs, de l’horreur et de la bêtise de la guerre. C’est certainement pour cela qu’il se représente en sauveur : il est celui qui nous met en

PLAN I- La démocratie : de la prévention à la résolution des conflits A- Les facteurs explicatifs 1-les facteurs normatifs/culturels 2-les facteurs structurels/institutionnels B- la démocratie : l’idée d’une conciliation naturelle au pacifisme et à la résolution des conflits. 1-la paix est-elle inhérente à la démocratie ? 2-la démocratie comme mécanisme de résolution des conflits II- les critiques ou restrictions de la théorie de la paix démocratique A- Critiques sur le plan doctrinaire

On sait combien l’horreur des tranchées, l’ampleur des destructions et la profonde vanité de la Première Guerre Mondiale avaient nourri un pacifisme généralisé, tel qu’il ne s’en était jamais présenté auparavant. On clamait haut et fort qu’elle serait « la der des ders », à tel point qu’en 1928, le pacte Briand-Kellog se proposait de mettre la guerre hors-la-loi. Pourtant, à peine vingt ans après l’armistice de Rethondes, l’Europe plongeait dans un conflit d’une violence plus radicale encore

attaqué, on a raison. Mais quand on ajoute que nous étions des petits saints qui honoraient et pratiquaient le pacifisme et que jamais, oh mon Dieu!, nous n’avons eu des idées de revanche et de triomphes militaires et que jamais vis-à-vis de l’Allemagne nous n’avons commis d’actes d’hostilité et de provocation “on attige un peu la cabane” comme on dit ici»: il suggère donc bien que le pacifisme a ses limites. 2. «Guerre à la guerre»: une illusion dictée par les bons Pour Clausewitz, la «guerre à