Perroquet

dans les îles, possède un domestique noir et un perroquet qui fascine Félicité car il vient des Amériques et lui évoque ainsi le souvenir de son neveu Victor. Le préfet se voit muté à une nouvelle affectation et laisse en guise d'adieu le perroquet à Mme Aubain, qui n'en a que faire et le donne à sa bonne. Félicité le nomme Loulou, s'occupe affectueusement de lui, et transfère toute son affection sur cet étrange compagnon. Un jour que le perroquet profite de sa liberté pour s'échapper, Félicité part

simple et dévote par son approche particulière de la religion. La simplicité du personnage se voit dans ses relations à autrui. Elle aime sans compter toute personne qui lui voue un peu d'intérêt que ce soit un jeune homme, un malade ou bien un perroquet. Elle est prête comme dans le cas de son neveu de tout donner en échange de quelques affections intéressées. Cet amour sans fin peut se transformer en dévotion animal. Dès le premier signe de tendresse de la part de Mme Aubain sa maitresse, elle

dans les îles, possède un domestique noir et un perroquet qui fascine Félicité car il vient des Amériques et lui évoque ainsi le souvenir de son neveu Victor. Le préfet se voit muté à une nouvelle affectation et laisse en guise d'adieu le perroquet à Madame Aubain qui n'en a que faire et le donne à sa bonne. Félicité le nomme Loulou, s'occupe affectueusement de lui, et transfert toute son affection sur cet étrange compagnon. Un jour que le perroquet profite de sa liberté pour s'échapper, Félicité

dans un long voyage .La mort de Virginie, apres une fluxion mortelle de poitrine plongea Felicité dans une dépression durant laquelle, seule, elle s’attacha alors à un perroquet, Loulou, dont on lui a fait cadeau. La servante devient sourde apres une infection due a une angine,elle n’entend alors plus que le caquètement de son perroquet quand un matin, Loulou meurt... Après la mort de Mme Aubain, la pauvre servante reste dans la maison invendue qui se dégrade. Ayant contracté une pneumonie, Félicité

père Colmiche, le soigne, en vain puisqu’il meurt quelques jours plus tard. Le domestique du sous-préfet, leur voisin, se présente à sa porte un beau jour pour offrir à Mme Aubain le perroquet de celui-ci, cadeau qu’il fait en guise de témoignage de respect pour son défunt mari. Chapitre IV : Loulou le perroquet est vert, bleu et rose, il ennuie Mme Aubain qui l’offre définitivement à Félicité. Celle-ci lui apprend à dire des politesses et parvient à le guérir toute seule lorsqu’il développe

de raison qu’un chat ou un perroquet ; ou que quiconque entendrait un chat ou un perroquet discourir, raisonner et philosopher, ne l’en appel­lerait pas moins un chat ou un perroquet (ou ne penserait pas moins qu’il en soit un), considérant l’un comme un homme stupide et privé de raison, et l’autre comme un perroquet particulièrement intelligent et raisonnable. Un récit que nous tenons d’un auteur de grand renom peut ici suffire à étayer cette supposition d’un perroquet doué de raison. Voici ses propres

de la famille de cette "Madame". Félicité s'attache énormément aux deux enfants, Virginie part en pension, Madame Aubain et Félicité sont triste, le temps passe, mort des gens qui lui sont cher, Virginie, Victor son neveu, Madame Aubain donne son perroquet Loulou à Félicité qui elle l'éduque comme son enfant, Félicié m alade d'une angine, 3 ans aprés, elle devient sourde. En hiver 1837, mort de loulou, le temps passe, mariage de Paul, décés de Madame Aubain, Félicité finit sa vie seule, elle retrouve

dévote mais mystique, dévouée sans exaltation et tendre comme du pain frais. Elle aime successivement un homme, les enfants de sa maitresse, un neveu, un vieillard qu’elle soigne, puis son perroquet; quand le perroquet est mort, elle le fait empailler et, en mourant it son tour, elle confond le perroquet avec le Saint-Esprit”. II ajoute, néanmoins: “Cela est nullement ironique comme vous le supposez, mats au contraire tr~s sérieux et trés triste Ce résumé confére au déroulement de l’histoire

blanc », le blanc rappelant la neutralité, devient subjective au travers des pensées indirectes de Lucien. L’esprit railleur de Lucien produit un effet péjoratif. Ainsi, Stendhal établit une allitération avec le son [p] de « persienne peinte en vert perroquet », ou encore des personnifications « murs écorchés […] méchants pavés » présentant des lieux délabrés, à l’abandon. Les pensées du héros nous amène à le détester pour sa fierté, sa suffisance. Dans la deuxième partie de l’extrait, l’apparition

dernière, déjà croyante, renforce sa foi et désire aider son prochain. C’est ainsi qu’elle protège les Polonais refugiés en France et prend soin du père Colmiche, vieillard malade vivant au bord de la rivière. A la mort de ce dernier, elle reçoit le perroquet de ses voisins – la famille Larsonnière – qui déménageaient. Loulou devient l’être qui reçoit toute son affection. C’est pourquoi sa mort lui sera extrêmement douloureuse et même insupportable ; elle ne peut plus le quitter même si ce n’est plus