Philippe Jaccottet Parler

Baudelaire…………………………………………………………………………………….10 Vers écrits d’Alphonse Lamartine .......................................................................................…...11 Sois tranquille, cela viandra. Tu te rapproches. De Philippe Jaccottet……..………………………11 Arrivé dedans Rome de Jacques Grévin…………………………………………………………………………11 Une allée du Luxembourg de Gérard de Nerval………………..………….….….…………………………..13 Préface C’est en lisant de la poésie que je me suis rendu compte

« Il faut parler de l’échec, du scandale, de la mort » affirmait Simone de Beauvoir. Pensez-vous que les arts, et notamment la poésie, doivent assumer une réflexion sérieuse ? La littérature aborde les grandes questions que se posent les hommes dans le but de d’analyser notre condition. La poésie, en particulier, examine le monde sous un angle différent des autres genres puisqu’elle émane d’une sensibilité unique et peut-être plus aigüe que celle du commun des mortels. En effet, le poète

en prose), Arthur Rimbaud (dans les Illuminations). Peu de temps après cette nouvelle forme poétique, son usgae devient systématique (avec Paul Claudel, Henri Michaux), les écrivains suréalistes l'utilisent aussi (René Char, francis Ponge, et Philippe Jaccottet). Le poème en prose est donc révolutionaire pour la poèsie. Par la suite, toujours dans la fin du 19éme siécle, le poème en vers libre fait lui aussi son aparition, cette fois ce sont les poètes symbolistes qui quittent la strophe et la rime

TEXTE 5 / PHILIPPE JACCOTTET – LE CERISIER (CAHIER DE VERDURE -1990) Le cerisier 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 Je pense quelquefois que si j'écris encore, c'est, ou ce devrait être avant tout pour rassembler les fragments, plus ou moins lumineux et probants, d'une joie dont on serait tenté de croire qu'elle a explosé un jour, il y a longtemps, comme une étoile intérieure, et répandu

Aristote, La Politique (livre I, chapitre 2), Rhétorique Abbé Dinouart, L’Art de se taire (Éditions Jérôme Millon, « Petite Collection Atopia ») Barthes (Roland), Fragments d’un discours amoureux (1977) Bourdieu (Pierre), Ce que parler veut dire (1982) Breton (Philippe), La Parole manipulée, Éloge de la parole (Éditions La Découverte) Chrétien (Jean-Louis), L’Arche de la parole (1998, chapitre 2) Flahault (François), La Parole intermédiaire (1978) Freud (Sigmund), Psychopathologie de la vie quotidienne

s'y coupent, s'y cassent les ongles : c'est un travail grossier. Les coups qu'on lui porte marquent son enveloppe de ronds blancs, d'une sorte de halos. A l'intérieur l'on trouve tout un monde, à boire et à manger : sous un firmament (à proprement parler) de nacre, les cieux d'en dessus s'affaissent sur les cieux d'en dessous, pour ne plus former qu'une mare, un sachet visqueux et verdâtre, qui flue et reflue à l'odeur et à la vue, frangé d'une dentelle noirâtre sur les bords. Parfois très rare une

sens peut avoir la création poétique ? Que cherche le poète ? Textes étudiés en lecture analytique 1 – Hugo, « Le mendiant », Les Contemplations, 1856 2 – Baudelaire, « Correspondances », Les Fleurs du mal, 1857 3 – Jaccottet, « Le travail du poète », L’Ignorant, 1957 4 – Jaccottet, « Je sais maintenant que je ne possède rien … », L’Effraie, 1953 4 groupements de textes ○1er corpus. C’est le corpus que nous avons examiné au départ afin de dégager l’image que chaque poète donnait de lui et de

condition » L’expérience vécue peut en outre inspirer des idées plus larges, voire universelles. Comme le dit Montaigne : « Qui se connaît, connaît aussi les autres, car chaque homme porte la forme entière de l’humaine condition. » Ainsi, parler de soi, c’est aussi parler de l’ensemble des hommes dès lors qu’il est question de la condition humaine, de ses joies, de ses peines. Lorsque Hugo affirme : « Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous […] Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi »

pas non plus à nommer le monde et, par le fait, ils ne nomment rien du tout  ». les procédés artistique que le poète utilise ne sont pas compréhensible par tous donc le message n’est pas compris par certains lecteurs. Dans le poème de Philippe Jaccottet, « parler » l’auteur s’exprime sur le fait que écrire de la poésie est facile, que les sonorités des mots peuvent êtres très proches, comme « peur » et fleur » mais que pourtant leur sens les opposes, mais que dans la poésie on les retrouves assimilés

tragique ? • Clov n’est-il qu’un souffre-douleur ? • En quoi le personnage de Clov révèle-t-il les dysfonctionnements d’un spectacle théâtral qui s’étiole ? • Quelle est l’importance du couple de Nagg et Nell dans //Fin de partie// ? • Peut-on parler de « personnages » dans //Fin de partie// ? • Pour lui raconter la suite de son histoire, Hamm dit à Clov : « Demande-moi où j’en suis » (p. 78). Dans quelle mesure cette phrase éclaire-t-elle l’importance des interrogations dans //Fin de partie//