Planeur

générique désignant tout aéronef dont la sustentation est principalement assurée par des forces aérodynamiques. Les aérodynes regroupent tous les appareils «plus lourds que l’air», dont la sustentation est assurée grâce à une voilure fixe (avion, planeur), ou tournante (rotor d’hélicoptère). -Un aérostat est un aéronef «plus léger que l'air», dont la sustentation est assurée par la poussée d'Archimède, contrairement à un aérodyne. 1) Montgolfière La montgolfière est un aérostat dont la sustentation

est le premier homme ayant construit ce que l’on pourrait considérer comme un avion (planeur). En 1807, il construit le premier modèle (réduit) d’un planeur. Il s’agissait en fait d’un manche à balai sur lequel était montée une aile en forme de cerf-volant. Ce n’est que 42 ans plus tard (en 1849) qu’il conçut un planeur («convertiplane») assez grand pour pouvoir transporter une personne et en 1853 un autre planeur permettant de transporter deux personnes. Georges Cayley continua ses recherches jusqu’à

humaine et, en 1809, un planeur qui volera sans passager. William Henson et John Stringfellow, reprenant les travaux de Cayley, firent voler un modèle réduit d'aéroplane à vapeur. Néanmoins, les moteurs puissants pour les appareils à taille réelle étaient beaucoup trop lourds pour leur permettre de décoller. Les progrès vont donc d'abord passer par les planeurs et par l'étude de l'aérodynamisme. Entre 1857 et 1868, le Français Jean-Marie Le Bris essaie successivement deux planeurs de son invention, d'abord

aérienne fut le Baronet Georges Cayley (1773-1857). Il construisit en 1807 ce que l’on considère comme le premier modèle réduit de planeur. Il s’agissait en fait d’un manche à balai sur lequel était montée une aile en forme de cerf-volant. C’était suffisant faire admettre le principe du plus lourd que l’air. A partir de ce modèle, il conçut en 1849 un autre planeur capable de transporter un jeune garçonnet puis son cochet en 1853. Cayley continua ses recherches jusqu’à sa mort et suggéra plusieurs

roussettes (une variété de chauve-souris). Il l'a baptisé «avion». [pic]Le mot vient du latin avis, qui signifie oiseau. Il a été inventé en 1863 par un journaliste, Gabriel de La Landelle, en référence à la «barque ailée» d'un marin breton ; en fait un planeur tiré par un cheval, face au vent... Après son premier essai avec Éole, Clément Ader conçoit un engin baptisé Avion III, avec deux moteurs à vapeur de 40 chevaux. Le 14 octobre 1897, il se lance sur la piste, à Satory, près de Paris, en présence

moteur Les palonniers qui agissent sur la gouverne de direction Le déplacement d'avant en arrière du manche La finesse d'un planeur peut s'exprimer par tous les rapports suivants, sauf un ; lequel a) b) c) d) portance / traînée vitesse horizontale / vitesse verticale distance horizontale parcourue / perte de hauteur (en air calme) envergure / corde de l'aile 11) Un planeur a une finesse de 40 (en air calme) à la vitesse de 108 km/h. Sa vitesse verticale de chute est de : a) 40 km/h 12) b) 40 m/s

de décollage et d'atterrissage. 19/ Trois facteurs favorisent la stabilité d’un avion. Lequel ne convient pas : a) dièdre nul. b) flèche positive. c) dièdre positif. d) dérive. 20/ Vous souhaitez réaliser une boucle (looping) avec votre planeur, pour cela vous utilisez comme commande : a) les ailerons. b) la dérive. c) la profondeur. d) les volets de courbures. 

134/38 (M) A.A.L. (AMICALE D’AVIATION LÉGERE) Tous avions 175/61 (M) A.A.S. (ATELIERS AÉRONAUTIQUES DE SURESNES) AAS.01A/B (He.274) 126/33 (MP), 128/30 (C) 134/38 (M), 152/49 (C), 170/57 (C), 175/61s (C) ABRAHAM Edmont Abraham Iris ABRIAL de PEGA Planeurs & Avions 224/11 (C) 127/15s (MP), 129/35 (C), 132/30s (CP) A.8 127/16s (ADP), 129/35 (CD),130/30s (CDP), 132/31 (C), 134/38 (C), 135/17s (CD A2 Vautour) 139/45s (CD), 144/30 (ADP), 154/41 (C), 193/55 (C) 170/57 (M), 236/35 (C) ACRA Réplique Spitfire

|personnelle à ces deux contraintes qui caractérise le degré d’autonomie de l’athlète. | | |Ces différents concepts se retrouvent dans le vol à voile, pratique de la course en planeur. En | | |effet, deux tâches distinctes font notamment appel à l’autonomie du pilote : la gestion du risque | | |inhérent à la pratique et la tactique de course en vol pour

nommés planeurs, sont contraints d’utiliser un système annexe pour « s’arracher du sol ». Anciennement, la mise en vitesse au décollage, était assurée soit par un sandow (gros élastique) tendu entre deux piquets enfoncés au sol, soit par remorquage par un véhicule au sol (automobile ou bateau). Actuellement, ils sont en général tractés par un avion appelé  « remorqueur ». Ce dernier tire le planeur par l’intermédiaire d’un câble et, lorsque l’altitude désirée est atteinte, le pilote du planeur actionne