Allusion

signe de quelque chose de funeste, d'un danger mortel. L'auteur du texte B fait également allusion à un "divin danger" (l.30). On peut également remarquer des rimes qui accentue cet effet de danger, le mot "mer" est lié au mot "amer" (l.1-2). Dans le texte C, l'eau a des conséquence sur celui qui la boit, "ébloui, paralysé [...] pétrifié [...] rivé au sol" (l.12-13-14). Dans le texte B et C, l'auteur fait allusion à un sort funeste qui ammène ceux qui se regardent dans le miroir qu'est l'eau, "mon sort

humilité du soleil comparaison du soleil et du poète au vers 17 «ruche de miel» transformer la boue en or parallèle au poète  1. Un monde sombre adjectif «vieux» «masures» «luxure» (débauche et vice qui s’y attache) société malade / allusion au monde corrompu, délabré, pauvre «viles» au vers 17 --> image du monde corrompu monde de malades (vers13) / vers 20 --> hôpitaux II / Une réflexion sur le rôle du poète et la création poétique 1. L’évocation de la création poétique vers

grâce à leurs œuvres.  Assimilation : -petits qui se nourrissent des entrailles de leurs pères  -une invitation des lecteurs à se nourrir des œuvres du poète qui naissent de  leurs souffrances Énumération des thèmes poétiques (vers 43) : il fait allusion à George Sand (vers 42 : espérance trompées)  Impression : illusion amoureuse suivie de déception, de malheur. Le poète tire ses sentiments du plus profond du cœur (ce qui va faire le bonheur des gens) comme le Pélican avec ses entrailles.  Comparaison

ensuite une explication de cette comparaison avec des ingrédients :’’feuilles mortes, essences ‘’ puis le processus qu’est la ‘’macération’’. Contrairement au vin, cette tisane particulière, n’aboutit pas à une métamorphose heureuse. Il fait une allusion médicale, l’application de ‘’compresses’’. L’image utilisée est saisissante et fait appel à l’imagination du lecteur. La transition avec le second alinéa se fait avec la chute des feuilles et le motif du dépouillement. On a une nouvelle ligne

Nord perdu propose une réflexion plutôt négative du voyage, que l’auteur illustre principalement de son expérience. Nancy Husten s’appuie sur son expérience personnelle pour évoquer le voyage en faisant justement une allusion à ses voyages. Tout d’abord, nous pouvons relever plusieurs destination évoquées aux lignes 1 et 2 tel que l’ «Inde», le «Japon», le «Mexique», «Tombouctou» mais aussi l’ «Italie» et l’ «Espagne» à la ligne 6 ou encore « Paris» à la ligne 17. Toutes ces destinations mettent

prodiges ==> Personnification de l’amour en divinité ==> Ironie de l’auteur sur son personnage ==> Locution proverbiale : «L’amour rend aveugle» ==> Des Grieux se croit dans la raison alors que Prévost le considère comme aveugle. ==> Allusion à Cupidon ==> Coup de foudre vécu comme un envoûtement renforcé par l’intensif «si charmant» ==> Champ lexical de la passion hérité du 17ème siècle ==> Métaphore de la préciosité et de la flamme de l’amour ==> Périphrase désignant

un ami qui cherche à vous comprendre en vous épargnant l’impudeur qu’il y a à s’expliquer, à trop parler de soi, résument la démarche de l’ami réveillé qui se précipite chez son alter égo au moindre soupçon. Quant aux 2 derniers vers, en faisant allusion à « un songe, un rien », ils renvoient plaisamment au rêve qui a éveillé et alerté l’ami empressé. On remarquera l’antithèse entre « un rien » et « tout ». La fable « Les deux amis », quoique présentant des personnages humains, est bien un récit

position de l'auteur face au propos soulevés dans le texte et sa volonté de convaincre le locuteur sur sa véracité. Il faut également prendre en considération la métaphore du bateau lorsqu'il parle du « bout du mât ». Nous pouvons comprendre qu'il fait allusion à la parti qui pointe vers l'avant du bateau comme ces québécois qui avançaient avec intérêt et conviction d'en apprendre d'avantage. De plus, l'utilisation de la métonymie « dos drette » met l'accent sur ce sentiment de fierté ressentie par ceux-ci

suite chronologique et logique du premier quatrain où la vie et l’inspiration poétique sont présentées ravagées par le temps. - Vers 8 : comparaison qui introduit la mort. 1er tercet : - « et qui sait » : hypothèse. - « les fleurs nouvelles » : allusion au titre + idée d’un renouveau, espérance d’un printemps des idées qui rimerait avec le renouvellement de l’inspiration poétique, après un rite de purification (vers 10) « fleurs », « rêve » : idéal - « le mystique aliment » = idéal, dimension

poète peut rejaillir sur la femme aimée. Verbes à l'impératif incitent Hélène à reconsidérer son dédain à l'égard de Ronsard au nom de l'immortalité et de la gloire dont elle pourrait bénéficier grâce à lui. Métaphore « Cueillez..Vie » est une allusion qui renvoi au carpe diem et à l'épicurisme selon lequel il faut profiter du jour présent. Conclusion : C'est un poème où apparaît un discours amoureux plus complexe qu'il n'y paraît. Derrière le discours amoureux apparaît de manière implicite