Points Communs Fantastique Réalisme

partisante de la brigade Garibaldi, avant de terminer son mémoire de littérature anglaise sur Joseph Conrad. D’abord reconnu en tant qu’écrivain néoréaliste, il devint par la suite membre de l’OuLiPo et s’intéressa à l’univers de la fable et du fantastique. En 1952 paraît Le vicomte pourfendu, qui s’intégrera plus tard, avec Le baron perché (1957) et Le chevalier inexistant (1959), dans la trilogie Nos ancêtres. Bien qu’ancré à des évènements historiques réels et présentant des personnages qui ont

1813 ; Cours de littérature dramatique, Schlegel, 1814). Dès lors, les écrivains étrangers pénètrent le paysage littéraire français. Le théâtre découvre Schiller, Goethe et Shakespeare. La poésie s'oriente, sous l'influence de lord Byron, vers le fantastique macabre, et, grâce aux Nuits d'Edward Young , dans la voie de l'élégie. Enfin, le Waverley (1814) de Walter Scott développe le goût du merveilleux moyenâgeux. Un climat nouveau se crée ainsi, correspondant à un « état d'âme collectif », pour lequel

traumatisme sociale ou est Dieu ? découverte de l’Amériqueenrichissement Europe. Galilée/ Copernic Point culmination car tout cela se concentre vers la révolutionindustrielle : siècle grand choque -> choque industrielle homme change plus radicalement révolutiondivinise révolutionpsychanalytique (homme plus mettre de soi) 2 guerres mondiales (Staliniens, Nazis = camp concentration + bombe atomique) Point culminant de la modernité ambigu car c’est le dev. De technologie Locomotive création = dev. commerce

générique englobant tous ces sous-genres. Aujourd'hui, le genre massivement multi-joueurs est encore dominé par des MMORPG ayant pour thème le style fantasy (se déroulant dans un univers médiéval fantastique fictif) tels que les succès World of Warcraft. Tous ces types de jeux ont un point en commun : celui de devoir créer un avatar (comme vu précédemment) Cet avatar est défini par des caractéristiques chiffrées, une apparence que les joueurs peuvent personnaliser. Une grande partie des personnages

ÉTUDE D ’ UN ROMAN FANTASTIQUE 4e Oscar Wilde, « Le Portrait de Dorian Gray » « Classiques abrégés », l’école des loisirs, 2009 Les nouvelles Instructions officielles pour la classe de quatrième préconisent explicitement la lecture et l’étude de « récits du XIXe siècle », et le programme d’histoire des arts invite à centrer la réflexion sur le thème des « ruptures et continuités » en art : Le Portrait de Dorian Gray, d’Oscar Wilde, offre donc matière idéale à la prise en compte de ces recommandations

1.1.1. Les inspirateurs de Guy de Maupassant .............................................................. 11 1.2. Guy de Maupassant, auteur du réalisme et du naturalisme .............................. 14 1.2.1. Le naturalisme ..................................................................................................... 14 1.2.2. Le réalisme .......................................................................................................... 15 1.2.3. Le groupe de Médan ........

Séquence 3 : Eugène Ionesco, Rhinocéros Objet d'étude : Le texte théâtral et se représentation, du XVIIème siècle à nos jours. Problématiques : Quels sont les enjeux de la pièce du point de vue politique et moral ? Quelles questions pose-t-elle au niveau de la représentation théâtrale ? Séance 1 : La scène d'exposition Problématique : En quoi cette scène d'exposition étonne-t-elle ? Objectifs : Étudier une scène d'exposition. Analyser l'importance des didascalies Support : Œuvre + Manuel

les trois volumes de la Correspondance, parus dans les années 1960, sont non seulement épuisés, mais aussi rayés du catalogue, cas unique. Les éditions Einaudi ont développé en 1992, en collaboration avec Gallimard, une édition identique en tout point à La Pléiade mais intégralement en italien dédiée principalement aux auteurs italiens (Tacite, Ovide, Machiavel, Ugo Foscolo, Cesare Pavese, Beppe Fenoglio...) et quelques auteurs étrangers (Blaise Pascal, Voltaire, Percy Bysshe Shelley, Alexandre

simplifier le lecture…). A tel point que les journaux illustrés, pour lesquels on a pu dire que l’image était plus importante que le texte, sont devenus, sous le Second Empire, la forme privilégiée de la consommation populaire4. Dans la période qui court de 1870 à 1910, les liens entre illustration et édition populaire sont considérables, puisque les principaux supports de diffusion (journaux, journaux-romans, romans en livraisons) sont agrémentés de grandes gravures, au point qu’il semble que la mixité

Célèbre est l’exclamation de Cicéron postulant qu’il n’est pas nécessaire de tenir la parole donnée à un brigand auquel il identifie le pirate : « car le pirate n’est pas compté au nombre de belligérants, mais c’est l’ennemi commun à tous ; avec lui, on ne doit avoir de commun ni foi ni serment » (De officiis, III, 107). Cela n’empêche que, depuis l’Antiquité, la navigation occupe l’imaginaire : « le voyage en mer comme transgression de la limite », constate Hans Blumberg dans son livre Naufrage avec