Pris Leur Plume Pour Une épée

se divisent. Certains, conservateurs, soutiennent le régime de Vichy et la politique collaborationniste. D’autres cessent d’exercer leur art, émigrent aux États-Unis. Certains s’engagent dans la Résistance, en prenant les armes ou en utilisant leur plume ou leur pinceau. D. Résumé Antigone est la fille d'Œdipe et de Jocaste, souverains de Thèbes. Après le suicide de Jocaste et l'exil d'Œdipe, les deux frères d'Antigone, Étéocle et Polynice se sont entretués pour le trône de Thèbes. Créon, frère de

antiparlementariste causée par leurs nombreuses exigences et fortes pressions qui mettent le gouvernement face au mur et béneficient au mouvement B. Le journal de Clemenceau La Justice sous la plume de Camille Pelletier condamne alors les propos de Ferry envers B mais également envers la gauche. Après 2 mois d'absence le Général B fait son retour avec l'Affaire Caffarel qui le touche indirectement.Octobre 1887: Le sous-chef d'Etat

chacun d'eux appartient à une classe sociale bien particulière ; En 1, nous avons à faire à un soldat. Cela est visible par son habit puisqu'il porte une armure à son buste, un chapeau à plume (la plume à cette époque était signe de grade chez les soldats. Par exemple les officiers portaient une plume coloré) et son épée très bien mise en évidence par une lumière incidente et le drapé couleur doré qu'il tient à la taille. De plus, ce personnage a une moustache pas particulièrement bien coupée, a une barbe

temps de Charles II. La toison d’or au cou. Par-dessus l’habillement noir, un riche manteau de velours vert clair, brodé d’or et doublé de satin noir. Épée à grande coquille. Chapeau à plumes blanches. Gudiel est en noir, épée au côté. Ruy Blas est en livrée. Haut-de-chausses et justaucorps bruns. Surtout galonné, rouge et or. Tête nue. Sans épée. [modifier]Scène PREMIÈRE. DON SALLUSTE DE BAZAN, GUDIEL, par instants RUY BLAS. DON SALLUSTE. Ruy Blas, fermez la porte, — ouvrez cette fenêtre

temps de Charles II. La toison d'or au cou. Pardessus l'habillement noir, un riche manteau de velours vert clair, brodé d'or et doublé de satin noir. Épée à grande coquille. Chapeau à plumes blanches. Gudiel est en noir, épée au côté. Ruy Blas est en livrée. Haut-de-chausses et justaucorps bruns. Surtout Il galonné, rouge et or. Tête nue. Sans épée. Scène 1 DON SALLUSTE DE BAZAN, GUDIEL ; par instants RUY BLAS DON SALLUSTE Ruy Blas, fermez la porte, - ouvrez cette fenêtre. Ruy Blas obéit, puis, sur

comparaisons concrètes (« la mine doit être au mineur, comme la mer est au pêcheur, comme la terre est au paysan »). La thèse est ferme et claire, le propos simple, même parfois simpliste… l’auditoire ne peut qu’être séduit par la clarté logique et ce parti pris complètement assumé. Pour défendre une cause, l’écrivain peut donc s’appuyer sur l’argumentation frontale, directe. Claire, franche, qui a le mérite de la sincérité. Cependant, les textes littéraires peuvent aussi s’appuyer sur des

du temps de Charles II. La toison d'or au cou. Pardessus l'habillement noir, un riche manteau de velours vert clair, brodé d'or et doublé de satin noir. Épée à grande coquille. Chapeau à plumes blanches. Gudiel est en noir, épée au côté. Ruy Blas est en livrée. Haut-de-chausses et justaucorps bruns. Surtout galonné, rouge et or. Tête nue. Sans épée. Scène première – Don Salluste De Bazan, Gudiel ; par instants Ruy Blas. DON SALLUSTE. Ruy Blas, fermez la porte, – ouvrez cette fenêtre. Utiliser le

anaphores comme "Figurez-vous...", les énumérations, les métaphores saisissantes. L'éloquence d’Hugo ou Zola est aussi au service du registre pathétique. Il s'agit de faire partager la colère et la souffrance. Colère de celui qui prend la parole et la plume. Souffrance de celui-ci mais aussi des victimes d'inégalités, de mauvais traitements, d'injustices. Ce n'est plus la fiction qui nous instruit mais le discours qui informe et cherche à convaincre. L’argumentation est enfin parfois détournée. L'apologue

L'évocation des membres de la famille « pères vieux et pauvres, mères, enfant » et l'intensité des sentiments qui les unit « aimés, adorés, peine, amour » suscite la pitié de ces lecteurs dont l'indifférence ne peut résister à un tel tableau. La plume, avec une violence calculée offre alors une scène hyper réaliste, celle d'une mort sordide « poitrine crevée par les balles » (l.18-19) et d'un drame poignant, d'une catastrophe terrible à l'échelle familiale: la présence d'un discours indirect libre

toute censure ( Molière, La fontaire ou encore Voltaire) III/ Mais créer un monde intermédiaire, est-ce la seule façon de susciter la réflexion du lecteur ? a) choquer par les mots et les images ( argumentation directe " longtemps, j'ai pris ma plume pour une épée" Sartres dans Le Mots, ou la poésie violente et directe de Pablo Neruda "venez voir le sang dans les rues") b) représenter la réalité crue pour révolter ( opposée au monde éloigné  souvent imaginaire, Dernier jours d'un condamné, V.Hugo)