Scrutin Majoritaire Avantages Inconvénients

déconcentration rendue nécessaire par la population importante et la géographie. Les organismes ou les services locaux, ne se différencient en rien de l’Etat, ils ne disposent d’aucune autonomie et sont placés dans un contrôle étroit et central. Les avantages de la centralisation sont : - le bénéfice d’une administration impartiale, c’est-à-dire dégagée des querelles de politiques locales et qui rend impossible les abus de pouvoir ; - le rendement administratif supérieur, car l’administration centrale

interdit à l' employeur de prendre en considération l' appartenance à un syndicat ou l' exercice d'une activité syndicale pour arrêter ses décisions en ce qui concerne notamment l' embauche, la carrière, la rémunération ou bien encore l' octroi d' avantages sociaux, les mesures de disciplines ainsi que le licenciement au sens de l' article L.2141-5 du code du travail. Cette règle étant assortie de sanctions pénales. En réalité, la liberté syndicale du salarié reste très problématique. En effet,

souveraineté se résout de manière extrêmement simple . Car il n'y a qu'une seul organisation politique qui monopolise l'édictions du droit positif . Donc il va de sois que c'est cette entité qui dispose de la souveraineté . ==> Le grand inconvénient de l'état unitaire c'est qu'il est évidement trop centralisé . C'est la raison pour laquelle de très nombreux états unitaire veulent rapprocher le pouvoir du citoyen en pratiquant ce que l'on appel la décentralisation . Décentralisation ==>

pour 5 ans, au scrutin uninominal à 2 tours ; • le Sénat : aux termes de la loi organique n° 2003-696 du 30 juillet 2003, dès 2004 ils sont élus pour 6 ans, avec renouvellement par moitié tous les 3 ans, au suffrage indirect par les grands électeurs (les députés, des conseillers généraux et des délégués des conseillers municipaux dont les maires) Leur nombre doit atteindre 326 en 2010. Selon le nombre de sièges par département, le scrutin est proportionnel ou majoritaire. Auparavant ils

dénaturé. Une subordination à l’Etat fédéral doublée d’une dépendance par rapport aux autres Etats fédérés, dès lors qu’il n’a plus le pouvoir de refuser que lui soit imposée une décision prise contre son gré par d’autres que lui, en vertu de la règle majoritaire toujours en vigueur au sein d’un Etat fédéral. Car seule la règle de l’unanimité permet de préserver son pouvoir de dire non, soit un droit de veto. Cette architecture institutionnelle qui couronne un processus d’intégration n’est viable que si

est l’élection.   Cela a trois conséquences : − les partis politiques s’organisent comme des forces de vente, un instrument de marketing ; − l’importance du marché est fonction du mode de scrutin ; − les hommes comptent plus que les structures : les partis sont des écuries qui se mobilisent pour leur candidat fétiche : − les partis politiques n’ont plus de doctrine, ni d’idéologie.  

députés qui se fait dans la foulée du référendum. Le personnel politique est renouvelé, près de 60% des députés de la IVe République sont battus. Un nouveau parti se crée pour appuyer l’action de CDG, l’Union pour la Nouvelle République (UNR) qui est majoritaire au Parlement avec le parti centriste, aux dépens de la gauche (ce qui explique que pendant longtemps la gauche a été contre la Ve République). Ainsi la Ve République ne démarre pas qu’avec un nouveau texte mais aussi un nouveau personnel politique

résidences secondaires sont majoritaires. Il existe en matière électoral des élections local, un régime d’incompatibilité et d’éligibilité, ne peuvent pas être candidat, les agents municipaux de la commune qui les emplois. Ce n’est pas le cas de l’intercommunalité. Nul ne peut être membre de plusieurs conseils municipaux. Le mode d’élection (au moment des dernières élections municipales en 2008) : 1ere distinction : la barrière des 3 500, au dessus de 3 500 : moitié majoritaire, moitié proportionnelle

précédents puisqu’il comprenait environ 80000 personnes – tous les membres du Parlement (465+230), tous les conseillers généraux (3149 en métropole), tous les maires et des délégués supplémentaires en fonction de la population de la commune. Ce mode de scrutin se justifiait par un ensemble de considérations négatives : la volonté de ne pas tout faire à la fois (le risque de plébiscite fait peur), le peu d’importance qu’accordait De Gaulle à la manière d’accéder au pouvoir, la nécessité de ne pas mettre

Gouvernement devant les chambres parlementaires et du droit de dissolution. 3. LA SeConDe rÉpuBLique La Constitution de 1848, quant à elle, a institué le suffrage universel (masculin) et certains éléments du régime moderne de l’électorat et des scrutins. Dans une démarche de recherche d’équilibre au sein de l’État, elle a confié le pouvoir exécutif à un président de la république, élu au suffrage universel direct, principe qui sera repris en 1962, bien que le cadre politique, un régime parlementaire