Secteur secondaire

Meilhan-sur-Garonne. b) L'environnement économique de Meilhan-sur-Garonne: ▫ Secteur primaire : Meilhan et son contour ont une activité agricole importante dans ce secteur économique. ▫ Secteur secondaire : Dans le secteur secondaire on peut trouver des entreprises de menuiserie, une industrie pharmaceutique (pharmacie), également une entreprise de BTP (Bâtiments et Travaux Publics). ▫ Secteur tertiaire : Dans le secteur tertiaire on peut trouver des entreprises de transports et des compagnies

d’entreprises sont-elles un phénomène inhérent dans un contexte d’internationalisation des échanges et d’interdépendance des économies nationales ? » 1/ Accélération du phénomène au milieu du XIXème siècle 1.1/ D’abord dans le secteur secondaire… 1.2/ … pour ensuite s’étendre au secteur des services 2/ Et conséquences pour les économies locales 2.1/ Aussi bien dans les pays industrialisés… 2.2/… que dans les pays en voie de développement Conclusion : vers une possible relocalisation des entreprises 

selon Jean Fourastié : 1- Une recomposition des secteurs d'activité : Marqué par un phénomène qu'Henri Mendras en 1967 : fait référence à la disparition du monde agricole remettant en cause les travailleurs agricoles. Baisse importante du secteur primaire (selon Colin Clark) illustre une chute du secteur agricole : 43% des actifs en 1896, aujourd'hui < 3% → disparition. Ceci est lié à la mécanisation de l'agriculture. Croissance soutenue du secteur industriel jusqu'au années 1970 avec un transfert

de 20 ans de travaux. Les Régions « naturelles » Régions économiques Part des différents secteurs économiques en 2005 (% de la population active) : - Secteur primaire (agriculture, pêche, exploitations forestière et minière) : 4% - Secteur secondaire (industrie) : 21 % - Secteur tertiaire : 75 % Le tertiaire prédomine. Le tertiaire est le secteur qui produit des services. « Le secteur tertiaire recouvre un vaste champ d'activités qui va du commerce à l administration, en passant par les

processus directement opérationnels, pour cela il est important de faire des analyses dont il faut voir de plus près l’analyse du secteur. Pour analyser une société, il est nécessaire de comprendre son industrie, c’est-à-dire le métier et le secteur particulier dans lequel celle-ci intervient. C’est ce qu’on appelle une analyse sectorielle. Dans la plupart des analyses, le secteur a toute son importante. L’analyse sectorielle est utile pour comprendre l’activité d’une société ainsi que l’environnement

commerciale est le signe d'une meilleure compétitivité qui peut­ être à la fois basée sur le prix et ou sur la qualité. Or, depuis plusieurs décennies, on constate une permanence au niveau du déficit commercial de la France, surtout dans le secteur secondaire. Même si on dénote un léger recul de ce déficit passant de 74 milliards d'euros en 2011à 67 milliards en 2012, on constate le manque de compétitivité dans le domaine industriel de la France qui se traduit par une hausse du chômage et, d'une

de l’Asie POURQUOI UNE POLITIQUE VOLONTARISTE  Pour capter des opportunités majeures dans un contexte de fortes délocalisations  Pour impulser l’émergence et le développement de nouveaux métiers, de nouveaux secteurs  Pour stimuler la croissance et le repositionnement de secteurs structurants à fort potentiel  Pour anticiper les évolutions futures se concevant en complément et non en substitution aux pré-requis à un développement durable : Préservation d’un environnement macro-économique

puissance de l’Asie POURQUOI UNE POLITIQUE VOLONTARISTE  Pour capter des opportunités majeures dans un contexte de fortes délocalisations  Pour impulser l’émergence et le développement de nouveaux métiers, de nouveaux secteurs  Pour stimuler la croissance et le repositionnement de secteurs structurants à fort potentiel  Pour anticiper les évolutions futures se concevant en complément et non en substitution aux pré-requis à un développement durable : Préservation d’un environnement macro-économique

d’assainissement du cadre macroéconomique soutenus par une politique de réformes axée sur le renforcement de la compétitivité et la diversification. Le dynamisme des secteurs productifs a stimulé fortement les importations, grâce à l’accroissement de l’investissement, au démantèlement tarifaire, et à la vigueur de la demande interne. La réforme du secteur financier et l’assainissement des finances publiques ont offert de meilleures opportunités de mobilisation de l’épargne financière depuis 2001, permettant

d'une crise internationale sévère, qui a poussé les économies les plus puissantes du monde vers la récession économique, notamment celles des principaux partenaires du Maroc, ce qui n'a pas manqué d'avoir des répercussions négatives sur certains secteurs d'activités nationaux, particulièrement ceux en relation avec la demande étrangère. Malgré cette conjoncture internationale peu favorable, l'économie nationale devrait enregistrer en 2009 un taux de croissance, estimé par le ministère de l'Economie