Sève

LA SEVE DE BOULEAU : un élixir de jouvence pour nos cellules L’intérêt de la Sève de Bouleau Le milieu extra-cellulaire Le liquide extracellulaire, dans lequel baignent nos cellules, est un véhicule indispensable pour les messages destinés aux cellules, par le biais de la membrane cellulaire. Le vieillissement cellulaire prématuré provient souvent d’une altération de la qualité du liquide extracellulaire, perturbant ainsi la qualité des messages transmis aux cellules. La Sève de Bouleau :

Série Scientifique 1S2 Thème: Nature Pour ce thème nous avons choisi la Sciences et Vie de la Terre ( SVT) et la Physique comme matières principales. Sujet : L'ascencion de la sève de l'arbre Problématique : Comment les arbres font-ils monter leur sève jusqu’à leur cime alors qu’ils n’ont pas d’organe ayant un rôle de pompe ? Synthèse : -Etape de la démarche : j'ai été d'accord pour le choix de ce sujet car c'étais un sujet qu'on évoque pas beaucoup, intéressant et surtout attirant

cylindre central conducteur situé dans le centre des racines. a - Au centre la moelle qui est un parenchyme (tissu fondamental) de réserve. i - Le xylème qui est un faisceau de cellules qui conduisent la séve brute des racines au feuillage. h - Le phloème est le faisceau de cellules qui conduit la sève élaborée du feuillage aux cellules de la plante. d - Le péricycle est une couche de cellules situées à l'intérieur de l'endoderme. Il peut se transformer en méristème et recommencer à se diviser. e

sont composés d’une tige principale, le tronc, qui supporte une couronne de branches porteuse de feuilles. En terre, un réseau de racines ancre l’arbre dans le sol et absorbe eau et minéraux qui servent de matières nutritives. Le tronc transporte la sève des racines jusqu’au feuilles à travers le système cellulaire. L’arbre par un système de photosynthèse au niveau des feuilles, grâce à la chlorophylle, produit aussi de la matière nutritive en absorbant la lumière et le gaz carbonique de l’air et

ennemis « printemps » « hiver » (mis en début de vers) il y a une oppositions car le printemps est montré comme « maladif » alors que l’hiver est montré « serein » « lucide » la sève est partout pou r narguer les poète « se pavane » elle montre une fierté déplacé s’est un effet moqueur accentué par l’allitération « ou la Seve immenSSe Se pavane » V.8 2) ETATS DAMES DU POETE - C.L de l’ennuie et du mal être : Maladif, Sang morne, Impuissance, Bâillement < Montre un mal être ce qui est paradoxal

dérober ses larmes de résine, L'homme, avare bourreau de la création, Qui ne vit qu'aux dépens de ce qu'il assassine, Dans son tronc douloureux ouvre un large sillon ! Sans regretter son sang qui coule goutte à goutte, Le pin verse son baume et sa sève qui bout, Et se tient toujours droit sur le bord de la route, Comme un soldat blessé qui veut mourir debout. Le poète est ainsi dans les Landes du monde ; Lorsqu'il est sans blessure, il garde son trésor. Il faut qu'il ait au cœur une entaille

personifications: · L’arbre : mûrier sous lequel avaient rendez-vous les deux amants et qui est témoin de leurs joies et de leurs souffrances. Ses branches deviennent « des cheveux, son aubier un « estomac » (son cœur dans le vocabulaire de l’époque), et sa sève une « sanglante humeur ». · Le Destin : il apparaît sous les traits d’un soudard qui « De [leurs] corps amoureux fait son cruel butin » (v.20). · Le poignard : il fait l’objet de violentes...

filles du grand bao. Du faîte du baobab d’où descendent mes ancêtres nos pères-grands, nos dabs. Cet arbre, notre arbre, le tout-puissant baobab (Allmighty tree) qui nous a conçu nous, NOIRS, non pas arabes, non pas toubabs, conserve pure la sève du continent qu’on dit incontinent et qu’un con dirait:”Inconsistant” en insistant et persistant ,comme le voudrait la langue de bois, à nous faire croire en nos soit-disants ancêtres les gaulois. Moi, je fais flêche et feu de tout bois des feuilles

larmes de résine, L'homme, avare bourreau de la création, Qui ne vit qu'aux dépens de ceux qu'il assassine, Dans son tronc douloureux ouvre un large sillon ! Sans regretter son sang qui coule goutte à goutte, Le pin verse son baume et sa sève qui bout, Et se tient toujours droit sur le bord de la route, Comme un soldat blessé qui veut mourir debout. Le poète est ainsi dans les Landes du monde ; Lorsqu'il est sans blessure, il garde son trésor. Il faut qu'il ait au coeur une entaille

Pendant l’hivers les coccinelles se mettent en DIAPAUSE (elles hibernent) et se cachent sous les pierres, l’écorce des arbres, la mousse, etc. Elles ressortent au printemps UTILISATION Les pucerons et les cochenilles se nourrissent de la sève des plantes (sève = sang chez l’homme) La plante est très fatiguée et peut mourir La coccinelle est très utile car elle peut dévorer entre 50 et 100 pucerons par jour Les jardiniers écologiques l’adorent car elle évite l’utilisation de produits chimiques