Subjectivité

ne pourra pas être mise de côté. De plus, le témoin n'est acteur que d'un fait individuel, précis, et devra se contenter d'en étudier le sens. Or l'histoire dure depuis une éternité. Ainsi, la vérité historique serait alors mêlée à une véritable subjectivité de la part du témoin par un manque de distance, ce qui fausserait alors son authenticité. Ainsi donc l'histoire pourrait se baser sur une certaine vérité organisée selon plusieurs conditions : les faits comme s'enchainant chronologiquement

les choses ? Dans ce texte, Hobbes montre que la subjectivité des noms rend impossible toute subjectivité des choses. Il faut donc se méfier des noms qui ne renvoient pas aux choses réelles mais à la conscience perceptible, psychologique, affective de celui qui les utilise. Le texte, de la l.1 à 5, commence par souligner le caractère subjectif des mots qui désignent des sentiments puis, de la l.5 à 112, Hobbes analyse la cause de cette subjectivité. Enfin, de la l. 13 à hh, Hobbes nous invite à raisonner

autrui est « extérieur » et semble donc pouvoir être appréhendé comme « objet ». • On opposerait ainsi l’objectivité possible de la connaissance d’autrui à l’influence de la subjectivité dans la connaissance de soi-même. • Mais autrui peut-il sans dommage être connu comme « objet » ? Et comment appréhender sa propre subjectivité ? PIÈGES À ÉVITER • Pas de cours général sur autrui : hors sujet. • N’oubliez pas que la question implique aussi que l’on examine les raisons pour lesquelles il est difficile

vérité de ce jugement. En effet l’objectivité suppose une distance et une neutralité grâce auxquelles la conscience ne transforme pas à sa guise la réalité. L’astronome qui cherche à connaître la position et la distance d’une étoile fait taire sa subjectivité au profit de l’objectivité des calculs mathématiques et des lois de l’astrophysique. Peut-on être pour soi-même un tel objet de connaissance ? Le fait même que le sujet porte un jugement, non sur un objet extérieur comme c’est le cas de

Le romancier, dans une œuvre au cadre historique, ne se limite pas à rapporter des faits mais se veut davantage le témoin engagé de la réalité sociale qui transmet un message spécifique. II)La subjectivité du message de l’auteur et la visée argumentative du roman A-La subjectivité de l’auteur Un point de vue très subjectif est souvent adopté notamment dans les descriptions où il y a des antiphrases (utilisation de l’ironie), des modalisateurs ou des expressions à valeur dépréciative

transmission, de traduction, de communication – communication qui ne serait pas partagée par tous mais qui serait subjective. Ce subjectif est plurivoque : il renvoie à la fois au relativisme, à la subjectivité, et à la particularité. Ainsi il serait un mode d'expression s'adressant à une subjectivité, et dès lors n'aurait comme prétention que d'être particulier – mais l'art n'est-il pas le premier moment du savoir absolu ? D'où notre question : dans quelle mesure est-il légitime de réduire l'art

énoncer marquera une subjectivité dans son énoncé. Par exemple, dire « le ciel est bleu » end compte d’un fait réel, mais s’il est énoncé alors que le reste ne l’est pas, le choix d’énoncer ce fait précis montre déjà une subjectivité ; on peut se demander dans quel but, ou pourquoi cet énoncé est fait. Dans ce cas et au vu de la difficulté à énoncer seul des propositions vraies, la présence d’une autre personne et le dialogue avec celle-ci peut aider à limiter la subjectivité. En confrontant son

c'est-à-dire à un édifice doctrinal déduit d'axiomes fixés une fois pour toutes. La raison est qu’un philosophe et un historien ne doivent pas faire face à la même objectivité et donc par conséquent pas à la même subjectivité : nous attendons de l’historien une certaine qualité de subjectivité qui soit précisément appropriée à l’objectivité qui convient à l’Histoire. Tout historien qui écrit un livre d’histoire, l’écrit avec les préjugés de son époque, c’est pourquoi l’auteur peut être impartial mais

qu'il a tout crée ; aussi bien lui-même que les autres ? Quels sont les objectifs de ce texte ? Tout d'abord nous verrons que l'homme est pleinement responsable de ce qu'il est avec la subjectivité puis qu'il l'est aussi avec l'humanité ; ça serait donc lui qui aurait crée l'objectivité. Tout d'abord, la subjectivité touche tout ce qui se rapporte, ce qui est relatif au sujet pensant. Tout homme possède ce que l'on appelle une opinion subjective, l'homme fait ce qu'il veut, il est libre, maître

correspond pas à une réalité. On peut donc définir l’objectivité comme ce qui renvoie à une réalité indépendante de toute connaissance, donc de tout sujet. La subjectivité désignera donc le contraire de l’objectivité, autrement dis tout ce qui n’est pas de l’ordre de la réalité, soit de l’imagination. Or la conscience de soi même est liée à la subjectivité, on peut donc dire que la vision que l’on a sur soi même est subjective. On a donc une vision de soi même qui ne repose aucunement sur une réalité, au