Suzeraineté

du XIIème siècle, la situation change. En effet, à partir du règne de Louis VI, le Roi qui a rétablie l'ordre dans son domaine, est devenu assez fort pour exiger l'hommage et le service des grands seigneurs. Nous assistons à l'affirmation de la suzeraineté royale au cours du XIIème siècle. Ce renouveau de la royauté, a été rendu possible car elle n'est jamais restée sans représentant. En effet, de nombreuses grandes familles seigneuriales ont disparues mais pas la famille Royale. La descendance d'un

est-il de la pratique ? Depuis Hugues Capet l’idée de suzeraineté suprême se fortifie et continuera à le faire sous les règnes de Louis VI et Louis VII et ce, notamment grâce aux théories d’Abbon de Fleury mais aussi de Suger (A) qui vont parvenir a faire du roi le seigneur de tout les seigneurs, c'est-à-dire du suzerain suprême, le mettre au sommet de la hiérarchie vassalique (B). A) Les théories de Suger et Abbon de Fleury L’idée de suzeraineté suprême se développe à partir du règne d’Hugues Capet

Parties Contractantes, soit sur le territoire d'une seule Haute Partie Contractante, si une escale est prévue dans un territoire soumis à la souveraineté, à la suzeraineté, au mandat ou à l'autorité d'une autre Puissance même non Contractante. Le transport sans une telle escale entre les territoires soumis à la souveraineté, à la suzeraineté, au mandat ou à l'autorité de la même Haute Partie Contractante n'est pas considéré comme international au sens de la présente Convention. 3. Le transport à exécuter

qui oppose le roi aux seigneurs. En si hissant au sommet de la pyramide féodale, grâce à la théorie de la suprême suzeraineté, le roi va imposer son autorité à l'ensemble du monde féodal (A). Le roi ne contentera pas de cette théorie développée par Suger, pour reconstruire son autorité, il utilisera le droit (B). A) Rétablissement du pouvoir royal et théorie de la suprême suzeraineté Tout au long des XIème et XIIème siècle, l'influence du roi se heurte au principe selon lequel « le vassal de

le lien réel est le principal, tandis que le lien personnel est l'accessoire. De la Suzeraineté à la Souveraineté Problématique : Comment les monarques capétiens ont-ils restauré l'autorité royale ? Annonce de plan : La notion de suzeraineté sert de fondement à la notion de souveraineté ( A ), cette dernière étant pleinement affirmée au début du XIV ème siècle ( B ). I – La suzeraineté, fondement de la souveraineté : Parce qu'il est sacré ( A ), le roi a une place particulière

conjonction de quatre dynamiques : i) la territorialisation du pouvoir : pour que la puissance du monarque puisse s’exercer sans frontière intérieure à sa puissance, il va falloir détruire la médiatisation féodale. Dans le système féodal de la suzeraineté, le vassal de mon vassal n’est pas mon vassal (A>B et B>C n’entraîne pas A>C). Il faut surmonter les frontières intérieures, à défaut de quoi la puissance royale serait variable, fragmentée. Il faut d’autre part la protéger des ingérences

chercher ses arguments. Puisque les deux pays ne sont pas vraiment arrivés au même cheminement à la fin de la guerre, l’auteur les a comparés à la fin et il m’a été dur de bien comprendre sa thèse. Suzeraineté : Droit d’un État sur un autre. http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/suzerainete/ Arbitraire : Qui dépend de la seule volonté, sans en référer vraiment aux règles. http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/arbitraire/

limitée parce que le Roi de France n’exerçait son pouvoir que sur ses vassaux directs. Il étend sa supériorité sur toute la société féodo-seigneuriale, puis sur tous ses sujets. On assiste au passage de la suzeraineté à la « souveraineté royale » §1 : La Suzeraineté royale Pour que la suzeraineté soit totale, le Roi ne doit en aucun cas apparaitre comme dépendant, il ne doit être le vassale de personne. La royauté va faire jouer au maximum les règles et mécanismes féodaux pour s’affirmer progressivement

de points de vue, (Le Tibet appartient, a appartenu oui on non à la Chine) reposent sur l’interprétation de deux concepts. L’un est géographique, donc assez simple, qu’est ce que le Tibet. L’autre est la différence entre le concept féodal de suzeraineté, opposé à celui plus moderne de souveraineté. Pratiquement jusqu’à la République Chinoise, l’empire Qing était un état féodal (les communistes ont souvent utilisé ce mot dans un sens un peu péjoratif pour justifier la suppression de l’ancien régime)

théorique et morale sur les princes, comte, ducs etc..C'est pourquoi on parle de Suzeraineté et non pas de souveraineté ! La féodalité se caractérise par l'absence d'un pouvoir central. La suzeraineté indique donc une supériorité théorique, plutôt que réelle. Les Suzerains sont les rois, cette place lui permet quand même d'être considéré comme le seigneurs direct ou indirect de tout les seigneur du royaume.La suzeraineté ne fonctionne qu'a l'égard des seigneurs, il est soumis à eux. Alors que la souveraineté