Tercet

sont réparties de la manière suivante : une phrase par quatrain et une pour les deux tercets. On remarque une opposition entre les quatrains, qui forment chacun une unité, et les tercets qui forment une unité à eux deux. 1) La découverte des correspondances et des synesthésies Dans les quatrains, il est question des liens entre l'homme et la nature, on y trouve les correspondances verticales. Le thème des tercets est celui du parfum, c'est un exemple développé dans les deux strophes. On remarque

« ainsi » (comme ouverture / impératif, pour engager l'action) et « l'un de l'autre » (exclut d'autres personnes, un monde que pour les amants) changement dans le 2 quatrain des PP: te → nous 1er tercet: rêve de la fusion amoureuse continue jusqu'à la « folie » aussi le « nous » disparaît: plus de PP → le 1 tercet s'oppose au quatrain → rupture entre vers 8 et 9 → « nous » remplacé par « chacun » (2x) → généralisation on ne sait plus exactement si elle parle d'elle-même ou en général de « la fusion

dans les deux tercet, il y en a au passé simple et au participe passé. Le poète l’a fait comme ça parce qu’avec les verbes à l’imparfait, il a voulu présenter quelque chose de contemplatif tandis que qu’avec les autres, il a voulu présenter l’action ou les réactions. C’est donc un thème indispensable l’aube. Il serait considérable de mentionner que tout au long du texte, il y a une assonance en « o » et qu’il y a également une assonance en « i » dans le second quatrain et le premier tercet : « ciel »

succession de questions qui renvoient au passé vont s’opposer aux deux tercets qui sont des réponses qui renvoient au présent. Cette structure souligne en fait l’anéantissement du passé la perte des illusions, la perte des ambitions de jeunesse, autant de thèmes concrétisés  ici autour d’un topo cher la Pléiade, savoir la perte d’inspiration poétique. Les expressions des deux quatrains vont trouver dès lors leur écho dans les tercets (Fortune  vers 1 et 9, v.3 ≠ v.12, v.2 ≠ v.10, v.4 ≠ v.13, v.6 ≠ v

dit comme extra - ordinaire. Il s’agit ici d’un sonnet, forme poétique en vers constituée de deux quatrains et de deux tercets .On dit souvent que le dernier vers ou les deux derniers vers du poème constituent l’aboutissement ultime du sens du texte, là où la vraie signification émerge, pleinement. Dans ce poème les quatrains évoquent la rencontre proprement dite et les tercets peuvent faire référence aux suites potentielles. La passante Une belle femme incarnée dans son époque mais aussi une

VENTS Pierre de Ronsard Introduction Ce sonnet de Pierre de Ronsard reprend un thème fréquend chez les les pétarquistes. Sa composition est assez remarquable. Il est en effet constitué que d'une seule phrase distribuée entre les quatrains et les tercets. C'est d'abord une invocation émue, adressée aux différents aspects du paysage auxquels se confie le poète. Il leur expose l'incident qui cause son désarroi et ses regrets malheureux puis les supplie d'intercéder en sa faveur. Lecture du texte

d'énonciation il n'a plus d'inspiration mais a de l'espoir Le poète envisage que l'inspiration va venir avec le temps 1er tercet: La question rhétorique montre qu'il a un espoir "fleurs nouvelles"= nouveaux poèmes "le mystique aliment" Il aspire a l'idéal pour lui permettre de retrouver son inspiration créer un lien entre "sol" et "mystique aliment" correspondance verticale 2eme tercet: Bilan le temps qui passe est comparé a un vampire il est dévorateur personnification du temps Introduction Le

succession de questions qui renvoient au passé vont s’opposer aux deux tercets qui sont des réponses qui renvoient au présent. Cette structure souligne en fait l’anéantissement du passé, la perte des illusions, la perte des ambitions de jeunesse, autant de thèmes concrétisés ici autour d’un topo cher à la Pléiade, à savoir la perte d’inspiration poétique. Les expressions des deux quatrains vont trouver dès lors leur écho dans les tercets (« Fortune » vers 1 et 9, v.3 ≠ v.12, v.2 ≠ v.10, v.4 ≠ v.13, v.6

la France à l'Italie dans le premier tercet, en ventant les mérites de son pays. « Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux ». Dans le second tercet  « Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin », le poète nous fait comprendre qu'il préfère la France à l'Italie. Il utilise une anaphore avec le mot ''plus'' qui est répété à chaque fois en début de vers dans le premier tercet. Le poète appuie son lyrisme en s'appropriant

référence à la mythologie avec Artémis | |II La souffrance de l'amoureux | |Appel : Le dernier tercet (la pointe) est le plus important | |a) comparaison | |C’est une comparaison