Tristesse De La Lune Baudelaire

c'est-à-dire qui pourrait, raconter pas à pas la marche progressive qu'a suivie une quelconque de ses compositions pour arriver au terme du définitif de son accomplissement. Pourquoi un pareil travail n'a-t-il jamais été livré au public?» (traduction de Baudelaire). On peut ajouter à cela ce dont avait rêvé Mallarmé : «un livre, architectural et prémédité, et non un recueil des inspirations du hasard, fussent-elles merveilleuses». M. Teste est présent aussi dans le projet de “Charmes” en ce que s'y découvre

c'est-à-dire qui pourrait, raconter pas à pas la marche progressive qu'a suivie une quelconque de ses compositions pour arriver au terme du définitif de son accomplissement. Pourquoi un pareil travail n'a-t-il jamais été livré au public?» (traduction de Baudelaire). On peut ajouter à cela ce dont avait rêvé Mallarmé : «un livre, architectural et prémédité, et non un recueil des inspirations du hasard, fussent-elles merveilleuses». M. Teste est présent aussi dans le projet de “Charmes” en ce que s'y découvre

devient l'inspiratrice de ces élans vers la beauté, la vérité, le bonheur. La solitude alors a presque toujours pour cadre d'élection la nature. Bien avant que la sensibilité romantique n'en ait fait le décor par excellence des "élans du coeur" (Baudelaire, Spteen de PaPis, IX), les po~tes de la Pléiade, tels du Bellay menant la ronde des Muses "dessus le vert tapis d'un rivage écarté" (RegPets, VI), puis, à l'époque des jardins à la française, La Fontaine rêvant de "goûter l'ombre et le frais

d'hier affiche déchirée, Vois-tu, pour cet amour dont tes regards sont pleins, Mon frère, je t'envie autant que je te plains ! – Ruy Blas ! – Moment de silence. Ils se tiennent les mains serrées en se regardant tous les deux avec une expression de tristesse et d'amitié confiante Préface et extrait de Germinire Lacerteux, Jules et Edmond de Goncourt, 1865 Il nous faut demander pardon au public de lui donner ce livre, et l'avertir de ce qu'il y trouvera. Le public aime les romans faux : ce roman est

Roméo avant même qu’il n’entre en scène. Benvolio évoque p 30 sa rencontre matinale avec le jeune Montaigu : • D’emblée présenté comme un personnage torturé- Montaigu parle d’humeur noire, de nuit artificielle et associé à Roméo un lexique de la tristesse (sa peine, ses larmes, accablé de soucis) • Il est visiblement en décalage avec la société : il fuit la compagnie des hommes (heureux de me fuir, se cloître dans sa chambre)/ Il se réfugie en marge de la ville, sous les sycomores et cache l’origine

leurs mains comme le soleil tarit l’eau des marécages», ce qui laisse envisager davantage leur futures difficultés économiques. Le long du voyage l’auteur décrit doucement les lieux, la tombée du jour, les maisons qui s’allument, l’apparition de la lune, dans une sorte de poésie comme si c’était vu par les yeux d’une jeune fille romantique. L’arrivée au Peuples À leur arrivée aux Peuples, l’auteur donne une description réduite à l’essentiel soit de l’extérieur que de l’intérieur du vieux château

dans la mer. Comme à l’aller, déjeuner à Calcatoggio « sous une treille de fougères sèches ». Visite de la maison natale de Napoléon Ier. Le soir, promenade sur l’esplanade de la forteresse et la terrasse du palais inachevé du cardinal Fesch : « La lune en face se reflétait dans les flots ; suivant qu’elle montait dans le ciel, son image prenait sous l’eau des formes changeantes, tantôt celle d’un immense candélabre d’argent, tantôt celle d’un serpent dont les anneaux montaient en droite ligne à la

spectacle : la mère était « spectatrice, jamais actrice ». Portrait qui appartient à la réalité mais constriction poétique, littéraire de l’image de la mère. Image d’une pauvre collé à la fenêtre (référence aux poèmes de Baudelaire). Image des pauvres (dans l’œuvre de Baudelaire) qui contemple un monde de luxe, d’aisance qui se retrouve dans le passage écrit par Cohen. Il utilise cet intertexte pour construire l’image de sa mère, la mère devient un topo du pauvre. On retrouve une séparation de deux

: Calder~ôn, La vie est un songe, Rotrou, La Véritable Histoire de Saint ~Genest. Les baroques cultivent surtout le roman d'aventures, inspiré du roman picaresque espagnol. Ex. ~: Cyrano de Bergerac: ~L'Autre Monde ou les ~Etats et empires de la Lune (1649) ou Scarron -. Le Roman comique (1657), et la tragi-comédie, ex. : Alexandre Hardy : ~Scédase (1624). Ils sont fascinés par les passions violentes, ex. ~Théophïle de Viau: Pyrame et Thisbé (1 620) est une pièce sanglante. Au niveau stylistique

la rudesse du climat pré hivernal, le déchaînement des éléments, la tristesse de la nuit la désolation de l’aube : p. 119 « Ce fut par une lugubre nuit de novembre que je contemplai mon œuvre terminée (...) Il était déjà une heure du matin ; une pluie funèbre martelait les vitres et ma bougie était presque consumée, lorsque à la lueur de cette lumière à demi éteinte (...) » p120 « à la lumière incertaine et jaunâtre de la lune ... » p121 « ..nuit lamentable; (...) L’aube, lugubre et pluvieuse