Voltaire Cynique

l'humanité. L'affirmation de ces valeurs les conduit à combattre l'intolérance religieuse et l’absolutisme politique. David Hume David Hume David HumeGotthold Ephraim Lessing Certains philosophes interviennent dans des affaires judiciaires (Voltaire défend entre autres Calas, un protestant injustement accusé d'avoir tué son fils) et militent pour l'abolition des peines infamantes, de la torture et de l’esclavage. Diffusées dans les salons, les cafés et les loges maçonniques, les idées des Lumières

(anagramme de François Rabelais). Pantagruel est un personnage médiéval que Rabelais transforma en géant. Immense succès populaire. L'humour optimiste et plein d'espérance des deux premiers livres semble céder la place à un humour noir plus critique et cynique. Une lecture approfondie révèle toutefois que Rabelais n'a jamais perdu la foi en la nature humaine. Michel de Montaigne : Michel de Montaigne, né et mort (28 février 1533 - 13 septembre 1592), écrivain, philosophe, moraliste et homme politique

historique, fondé sur la croyance dans le progrès de l'humanité. L'affirmation de ces valeurs les conduit à combattre l'intolérance religieuse et à promouvoir une religion déiste. Certains philosophes interviennent dans des affaires judiciaires (Voltaire défend Calas, un protestant injustement accusé d'avoir tué son fils) et militent pour l'abolition des peines infamantes, de la torture et de l'esclavage. Diffusées dans les salons, les cafés et les loges maçonniques, les idées des Lumières sont consacrées

temps : « vous me lavez donné ». TEXTE IV Extrait n°1 : L’Incipit, Candide ou l’optimisme(1759) de Voltaire  Introduction : Voltaire écrit candide en 1759, le sous-titre « ou l’optimiste » remet en question la théorie philosophique de Leibniz qui consiste à penser que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. Or on sait que Voltaire a traversé une période assez troublante dans les années qui ont précédées le conte philosophique : de gros soucis de santé

Chapitre premier jusqu'à « et par conséquent de toute la terre » Introduction : Le conte philosophique Candide (1759) est l'ouvrage le plus connu de Voltaire, le grand philosophe français du XVIIIème siècle. Candide est le jeune homme à travers qui nous découvriront son histoire. Nous analyserons successivement dans ce passage les éléments qui relèvent du conte puis la manière dont l'auteur les utilise pour dresser une satire de la noblesse et d'une certaine conception de la philosophie. I

Déshumanisation : esclaves = animaux ; cf les comparaisons : chiens = fidélité, obéissance ; singes = mimétisme gestuel ; perroquets = mimétisme verbal. Converti par : dépossédé de ses racines culturelles et religieuses. 2. Un système économique brutal et cynique Allusion au commerce triangulaire Allusion au Code Noir : c’est l’usage. : acceptation par tous d’une anomalie monstrueuse. Raccourci ironique : c’est à ce prix… : décalage, disproportion (cause / effet) entre les mutilations et la gourmandise

voire même l'irrespect... Les "roués", hommes cyniques et séducteurs, apparaissent aux côtés du régent. Ces libertins, personnages aux moeurs légers et dépourvus de scrupules morales et religieuses, étaient avant tout des libres penseurs. Au XVIII° siècle, ils entraînent un mouvement de désacralisation des valeurs et des repères du siècle précédent. On pratique aussi la critique: Montesquieu publie "Les lettres persannes" en 1721 et Voltaire ose quelques vers contre le régent, ce qui

choses dont il ne comprendra pas le quart […] » (l.46-50). Ainsi, grâce à toutes ses stratégies argumentatives, Rousseau dégage plusieurs arguments prépondérants dans sa critique : tout d’abord, que les enfants sont plus sensibles au pragmatisme cynique qu’à l’humanité (admirer le plus fort et le plus rusé), Qu’il existe, selon lui, deux morales : une en parole et une autre en action et cette morale en action ne serait pas appliquée à la lecture des Fables de La Fontaine et mènerait ainsi à une

Dans un dossier du Monde consacré à Voltaire et à Rousseau, Roland Barthes écrit : « Voltaire part du futile, le maintient par la simple poussée de l’anecdote, mais chemin faisant prend en écharpe tout le sérieux du monde : l’histoire, les idées, les civilisations, les crimes, les rites, la mauvaise foi, bref tout ce tumulte dans quoi nous nous débattons encore. [...] Ne voyons-nous pas que ce sont tout de même les œuvres de fiction, si médiocres soient-elles artistiquement, qui ébranlent le mieux

Documents : A- Voltaire, Candide, extrait du chapitre 18, 1759. B- Jules Verne, Les Cinq Cents Millions de la bégum, extrait du chapitre V, 1879. C- Éric-Emmanuel Schmitt, L’École du diable, extrait de la scène 2 de l’acte II, 1996. QUESTIONS : 1- Montrez que chaque auteur, par des procédés qui lui sont propres, met en place un espace imaginaire qui échappe en partie aux lois du monde réel. 2- Comment le progrès technique est-il perçu dans ces trois textes ? Justifiez votre réponse