Analyse de pratique IFSI
En effet, pour les psychoses chronique la guérison n’existe pas, le patient aura toujours une part de délire qui déborde plus ou moins sur sa vie courante. Le soignant doit ni adhéré aux propos délirant ni les casser.
La situation choisit se passe lors d’une visite à domicile avec une infirmière du CMP. Je fini ma deuxième semaine de stage en soin de santé mental. Nous rendions visite à Madame R à 65 ans, elle habite en appartement. Elle est suivie par le CMP pour psychose schizophrénique qui est la cause d’opération de la pensée perturbées ainsi qu’une stratégie d’adaptation inefficace. Il lui à été prescrit une visite à domicile par semaine ainsi qu’une activité jeu de société hebdomadaire dans la structure. Elle vient toute les 4 semaines faire une injection retard de deux ampoules d’Haldol DECANOAS en IM.
Lorsque nous somme rentrés dans l’appartement, Mme R nous accueilli en ces termes « Vous venez voir la folle de Marseille », « Vous venez me faire une piqure morte ». Il est utile de préciser que cette dame n’a jamais vécu à Marseille. Lorsque l’infirmière lui demande la raison de ces propos, Mm R répond qu’il y’a une voiture immatriculé PACA devant sa fenêtre. Lorsque qu’elle est endormie ses occupants viennent lui faire « une piqure morte ». Nous essayons alors de la rassurer, en lui conseillant de bien fermé sa porte et qu’elle est en sécurité chez elle. Durant la discutions les propos délirants sont nombreux, elle prétend avoir les cheveux bleu de naissance par exemple. L’infirmière lui demande pourquoi il y’a de nombreuses miette sur le sol de sa cuisine ainsi que du tabac. Elle rétorque que se n’est pas l’heure de faire le ménage. En effet Mme R règle sa vie sur des horaires peu communs car selon elle l’OPAC lui impose et d’autres raison plus hermétique.
L’infirmière n’a pas contesté ses dires, elle a