Analyse de pratique
La situation se déroule dans un hôpital privé de la région, plus précisément en chirurgie.
Mon analyse de pratique porte sur le problème d'évaluation de la douleur.
Je me rendais dans la chambre d'une nouvelle patiente pour remplir son dossier d'admission. Cette même patiente devait se faire opérer trois jours plus tard pour une cholécystectomie. Une fois dans la chambre je demande a la patiente comment elle va. Elle me dit alors qu »elle à un peu mal au ventre. Je lui demande si elle peut évaluer cette douleur sur une échelle de 1 à 10. Elle me répond ne pas pouvoir « noter » sa douleur. Je regarde alors si quelque chose lui a déjà été administré contre cette douleur. Je constate alors que 3 ampoules de spasfon lui sont perfusées avec 500ml de solution saline. Je pense alors qu'il n'est pas nécessaire pour le moment de lui donner un antalgique.
Je continue donc mon admission. Une fois celle-ci terminée la patiente me dit avoir encore plus mal au ventre. Je regarde alors dans le dossier si elle peut avoir un autre antalgique et constate qu'elle peut avoir une SAP de topalgic -6 ampoules sur 24h. Je l'informe alors que je vais consulter l'infirmière pour que cet antalgique lui soit administré. Ayant eu l'accord de l'infirmière je vais alors préparer la SAP. Je remarque au même moment que la patiente a sonné pour faire appel à équipe soignante. La SAP prête je retourne dans la chambre et constate que la patiente est recroquevillée sur elle même, les mains serrées contre son ventre elle pleure de douleur. Je me dépêche donc de brancher la SAP tout en essayant de la rassurer. Celle-ci posée, je vais informer l’infirmière de la situation et lui demande s'il était possible d'administrer un second antalgique le temps que le topalgic face son effet. Rien d'autre n'étant prescrit, elle me répond par la négation. Je ne peux alors me résoudre qu'à consulter régulièrement la patiente pour m'assurer que sa douleur va en s'amoindrissant.
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