Analyse des jeux vidéos
I. Introduction
Le jeu : une notion culturelle. Différence de perception culturelle du jeu est visible en fonction des niveaux de traduction des jeux.
1. Philosophie du jeu
Aristote (IV°AV): Le jeu est une activité où l’on recherche le bonheur mais cela n’amène pas au bonheur de l’âme, cela reste un divertissement. La spécificité du jeu est qu’il est le complément du travail. Jouer ne permet pas de vivre heureux mais de se détendre et donc de palier au malheur, c’est un ramène au labeur.
Saint Thomas d’Aquin (XIII°): il suit la notion du jeu utile et bon pour supporter le travail. Il développe l’idée de la bonne humeur et la sociabilité (eutrapelia), pour lui le jeu est donc utile. Cependant jouer trop est un pêcher car on entre dans l’excessivité.
François de Sales (XVI°): reprend les propos de Thomas d’Aquin, cependant l’Eutrapelia (élément motrice du jeu) est une disposition qui permet cette modération. Il conserve tout de même un pont de vue négatif car pour lui, les jeux d’argents sont souvent des jeux de hasard et aussi des jeux d’inégalité. On ne peut pas couper au sentiment d’injustice lorsqu’on perd. Autour des tables de jeu il montre qu’un stress nait. Ainsi pour lui le jeu incite à l’excès. Il distingue des catégories de jeu en bon ou mauvais. Il y a donc les jeux de délassement, bon, modérés et les autres qui suscitent l’excès.
Leibniz : Il change la valeur du jeu car il montre l’activité mathématique des jeux. Il ne parle plus de jeu de hasard mais de probabilité. Cette théorie va redonner quelques lettres de noblesse aux jeux.
Le jeu stimule les individus. Dans le jeu l’esprit s’exprime librement car il n’y a pas de contrainte. Pour lui, même tricher est une activité à effectuer qui permet de faire travailler le cerveau par des stratégies. Le jeu est une école de la pensé. Il veut dans son travail faire une analyse de tous les jeux et des bienfaits spécifiques de chacun.
Pascale : il travaille