Aristote métaphysique
Découpage en 3 parties : de la ligne 1 à 8 (l'étonnement) de la ligne 8 à 14 (l'ignorance) de la ligne 14 à 18 (la philosophie a une fin utilitaire)
Le thème est l'origine de la philosophie et son essence.
La thèse est que l'étonnement est à l'origine de la philosophie et quelle a pour seul objectif, le savoir théorique.
Il défend cette idée en 3 points, un premier paragraphe qui va jusqu'à la ligne 8 et dans lequel il insiste sur l'évolution de l'étonnement philosophique. Un second, dans lequel il met en relation l'étonnement avec l'ignorance tout en insistant sur la nature de cette ignorance, Et enfin un troisième paragraphe qui commence ligne 14, où il s'agit plus particulièrement de mettre l'accent sur le caractère principal de l'essence philosophique.
La racine de la philosophie est l'étonnement, il n'y a pas de de philosophie sans étonnement même de nos jours. Spéculer, c'est prendre l'initiative d'avancer une explication sans avoir de certitude absolue. L'étonnement vient d'une difficulté qu'on a du mal à résoudre au départ. Il est présenté par A. comme étant le point de départ de la philosophie correspond selon lui à une attitude, un état d'arrêt momentané face à un problème inhabituel. Donc la démarcher philosophique provient de la nouveauté des difficultés auxquelles sont confrontées les hommes. L'étonnement est sans fin, on progresse toujours. L'esprit humain n'est pas omniscient, il ne sait pas tout, donc c'est pour ça que l'étonnement se créer.
Nature de l'esprit Étonnement (naturel) Réflexion (naturelle)
.Ignorance
Nature humaine = philosophie
L'étonnement philosophique n'a pas de limites, toutes questions, toute source d'étonnement peut donner lieu à une spéculation philosophique. A. envisage la démarche philosophique comme progressive (simple à complexe) → on est face à un modèle dialectique.
La philosophie est égale au mythe car il