TASDEMIRBuketnur_5Art en publique ou art public ? Christian Ruby
Synthèse des idées principales du texte Les œuvres contemporaines à l’extérieur, dans les rues, les places public se sont multiplié depuis 1982 après une relance, les raisons de cet accroissement, et les événements chronologiques sont traité dans cet article.
Depuis la nuit des temps, art et lieux publics évoluent ensemble pour des raisons différentes. Les œuvres permettaient un divertissement et de distraction comme dans
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Avec André
Malraux et la théorie du « musée imaginaire », l’art s’affranchit totalement des raisons, quelle que soit sa nature, pour exister uniquement pour elle-même. Ce changement questionne sans doute beaucoup, car, l’art qui servait à une cause jusqu’à présent, sert à quoi bon aujourd’hui s’il n’y a rien à unir ni a mémoriser ? Le changement que l’on peut dorénavant appeler l’évolution de l’art se présente petit à petit et suit une trajectoire temporelle pour en arriver là. Premièrement, la suppression du socle change complètement la perception de l’œuvre. Ensuite, une rupture avec le classicisme se présente de plus en plus …afficher plus de contenu…

Cette question a été analysée par Walter Benjamin, un philosophe. De plus, mis à part les œuvres commanditées par le pouvoir central, il existe des œuvres résultant des mouvements contemporains qui sont délocalisé vers les banlieues et créant ainsi des archipels de citoyenneté et de sociabilité. Les œuvres ne sont plus focalisées sur de grands récits, mais sur de nouveaux horizons. Art public signifie un espace de conflit culturel dont les formes d’art peuvent être distinguées en trois « principes ». La distinction de l’art et de la ville, l’art qui se soumet à la ville et enfin un art qui interroge ce que la ville contient en elle.
Position personnelle par rapport aux idées de l’auteur
Le philosophe Christian Ruby questionne l’art public en explorant les éléments