Depuis les 30 glorieuses, la structure sociale dans les sociétés modernes a beaucoup évolué et évoluera encore. Assistons-nous à une moyennisation de la société française? Nous tenterons d'y répondre premièrement en abordant la vision de Mendras puis deuxièmement avec Lipietz et Chauvel.
Nous allons débuter cette réponse avec le raisonnement de la toupie de Mendras qui selon lui prend du ventre ! Ce sociologue classe les individus selon leur niveau de qualification et selon leur revenu. D'après lui, si tout le monde est moyen, plus personne ne l'est vraiment ; il veut donc dire que la plupart des personnes se classent dans la classe moyenne alors qu'ils ne devraient pas. La deuxième explication est celle de la diminution très forte des paysans et de la classe ouvrière. La3eme explication est celle de l'augmentation des professions intermédiaires qui sont des professions plutôt courantes dans la classe moyenne. Donc d'après Mendras, ou plutôt d'aprés ses trois critères il y a une moyennisation de la société.
Deuxièmement, nous verrons un raisonnement et une vision complètement differente qui est celle de Lipietz et de Chauvel : la société selon le sablier. D'après eux; c'est une société qui exclut irrémédiablement toute moyennisation. Il y aurait donc un tiers de la population qui serait entraînée vers le haut (dans la classe dominante), il y aurait donc plus aucune classes moyennes puisque les deux tiers restant de cette dernière serait, contrairement au premier tiers, poussé vers le bas donc dans la classe dominée.
La société française est donc une société ù la moyennisation reste un sujet très convoité par les sociologues. Nous avons donc pu voir que d'après Mendras, la moyennisation semble inévitable alors que Lipietz ou Chauvel semple dire tout