Balzac
Commentaire
C’est un extrait d’une œuvre de Honoré de Balzac, écrivain du XIX ème siècle, Le Chef-d’œuvre inconnu, il d’écrit un vieillard montant des escaliers par l’œil d’un jeune peintre, Nicolas poussin. Dans ce texte Balzac s’amuse à confondre le réalisme et le fantastique. En quoi ce portrait mélange-t-il le réalisme et le fantastique ? Dans la première partie nous montrerons en quoi ce vieillard est réaliste avec son physique et sa situation sociale. Et dans la deuxième partie nous montrerons en quoi ce personnage est surréel. Balzac fait une description intégrale de ce personnage en passant par l’œil d’un artiste « l’examina curieusement ». Espérant trouver quelque chose dans cette homme qui peut faire penser à un artiste mais le jeune perçut dans cet homme quelque chose qui monter sa vrai nature, une nature à s’intéresser à l’argent plutôt qu’à l’art « mais il aperçut quelque chose de diabolique dans cette figure, et surtout ce je ne sais quoi qui affriandes les artistes. ». A ces habits nous pouvons deviner qu’il a une certaine richesse « à la magnificence de son rabat de dentelle », « une dentelle d’une étincelante blancheur et travaillée comme une truelle à poisson ». L’homme est peut-être le mécène du maitre peintre que Poussin est venu voir. Comme dans le Père Goriot Balzac compare un aspect du physique du personnage avec quelque chose d’autre dans le cas présent il compare le nez de ce vieil homme avec le nez d’un grand écrivain et d’un grand philosophe « retroussé du bout comme celui de Rabelais et de Socrate », Balzac veut mettre en avant la certaine intelligence de ce personnage. Pour le moment le personnage reste dans le réalisme, Balzac fait une simple description de sont aspect physique, de son statut sociale et de la couche externe de sa personnalité. Balzac utilise l’impératif « imaginez » pour qu’on s’imagine bien le personnage qui monte l’escalier, ça passe donc d’u narrateur interne, Nicolas Poussin, à un narrateur