Beatnik
Le terme beatnik, forgé à partir du mot beat et du nom du satellite russe Sputnik, était initialement péjoratif en cherchant à montrer que les beats étaient une communauté de communistes illuminés. Le terme resta et devint l'emblème d'une génération de jeunes gens chevelus et débraillés[6]. Salut, beatnik ! est le titre d'une chanson écrite et interprétée par Léo Ferré en 1967. Les Beatniks est le titre d'une chanson écrite par Patrice Laffont et interprétée par Michel Sardou en 1966. On notera également la sortie en 1966 du titre "Faux Beatnik" interprété par Regis Barly.
Les beatniks rejetaient les tabous des squares (les personnes rigides qui ne profitent pas de la vie, les bourgeois). Ils rejetaient la société organisée et corrompue et les valeurs traditionnelles ; ils voulaient vivre simplement, à fond. Ils se révoltaient contre le matérialisme, l'hypocrisie, l'uniformité, la superficialité. Ils voulaient créer une société de sentiments simples, sans préjugés.
Le beatnik est le titre d'une comédie de Michel Teston (écrivain), Antraigues-sur-Volane , Ardèche.
Les femmes de la Beat generation[modifier]
Souvent laissée de côté dans l'histoire des premiers temps de la Beat generation, Joan Vollmer (qui devint plus tard Mme Burroughs) fut sans équivoque présente dès le tout début de l'aventure. Elle est décrite comme une femme intelligente et intéressante, mais qui ne s'impliqua pas dans l'écriture. Par ailleurs, à l'inverse d'un homme comme