Beckett et fin de partie
Les ressorts de l’absurde :2 registres : la farce (rire comme moquerie de Clov) et le tragique (pessimisme de vie de Hamm) (Beckett parle de Farce tragique) Rupture dans la continuité de la pièce : temps morts : beaucoup de moment de flottement silencieux (didascalie « un temps » très présent), mécanique d’un langage vide de sens / absence d’histoire, aucune intrigue : personnage ne font rien, seul personnage qui peut bouger Clov, les autres trop …afficher plus de contenu…
Critique de la condition humaine / de l’inhumain Traite de l’absurdité de l’homme et de la vie : Clov souffre-douleur de Hamm : il lui donne des ordres (« demande-moi où j’en suis » l5) et s’énerve contre lui (didascalie : avec colère face à l’inaction de Clov + ponctuation expressive) / tt au long