Candide - voltaire chapitre 1
Tout semble aller pour le mieux, mais des indices indiquent au lecteur qu'il faut prendre le récit au second degré, et le ton ironique est déjà présent dès le premier chapitre. La description qui ressemble à un conte de fée contribue à dénoncer un univers fondé sur l'illusion. La perspective critique et philosophique est donc déjà présente dès le début de l'oeuvre.
Rien n'arrête ces petits pervers... Nous voilà en pleine classe d'été avec un mec dans la vingtaine et une fille aux gros seins qui a un réelle problème avec sa libido. Le problème c'est qu'elle ne peut s'empêcher de baiser à droite et à gauche, et ce, même en pleine classe devant son prof de philosophie. Voilà qui n'est pas très philosophe, mais elle ne peut résister à ses pulsions même si son psy travaille très fort sur ce problème. Elle baise dans les marchés, au bistro, dans les magasins de meubles et cette fois-ci elle se prend de la bite en plein cours. Sa position préférée est la levrette. Rien de tel pour une bonne sodomie bien hard et profonde. Dans tout les cas, les deux petits pervers ne semblent pas se plaindre d'avoir un fille aussi chaude qu'elle dans la classe.
I. La présentation des personnages
Les personnages sont présentés successivement selon l'ordre d'entrée en scène. Tout d'abord, Candide est un élément important du premier paragraphe. Le narrateur établit une relation entre sa physionomie et son caractère: « esprit simple », « sa physionomie annonçant son caractère ». Il décrit ses origines