Candide
Le chapitre 1 débute comme un conte seul le cadre spatio temporel est définie ( le château ).
Le chapitre s’ordone ante deux axes d’études : - La satire de la baronnie à travers les personnages. - La critique de l’optimisme à travers le personnage de Pangloss.
I.- La satire de la baronnie :
Le chapitre débute par une satire des personnages à travers un portrait caractitural. Les personages sont présentés dans un ordre hiérarchique à l’exception de Candide (personnage principal ). C’est le baron qui occupe toute notre attention mais est défini comme un des plus puissants seigneurs de toute la baronnie. Voltaire attribue ironquement un effet très ordinaire de sa puissance avec « une porte et des fenêtres ».
Les portraits se réduisent à des caractéristiques physiques notamment celui de la baronne où Voltaire ironise sur son poids. La puissance du baron ne s ‘appuie pas sur la traditoin suggéré par le titre. On comprend que l’admiration dont est le baron ne repose que sur un titre et non sur des qualités réelles. Candide fait partie de la famille parce qu’il serait le fils non reconnu de la sœur du baron. Ce double statut explique à la fois que Candide puisse faire partie du monde de la Baronnie, mais aussi qu’il puisse en être chassé. Le statut de Pangloss qui achève la présentation des personnages est lui aussi particulier. Il est présenté au travers de sa fonction, il est le précepteur de Candide. La façon dont Voltaire présente Pangloss montre qu’il est caracaturé par sa fonction.
II.- La critique de l’optimisme :
Pangloss veut se faire passer pour un philosophe et pour cela il utilise les marqies du raisonnement philosophique, c’ets à dire des connecteurs logiques. Les hyperboles utilisés par Pangloss dans son discours rend celui-ci ridicule, mais surtout c’est l’absurdité de son raisonnement qui saute aux yeux quand il dit « un nez est fait pour porter des lunettes aussi avons nous des lunettes » , ce qui donne