Candide
Dans le premier chapitre, Voltaire transforme une réalité misérable en « meilleur des mondes » par le biais d’expressions :
Les pierres ont été créées pour en faire des châteaux
Son château avait une porte et des fenêtres ainsi qu’une tapisserie
Pangloss donnait une leçon de physique expérimentale
A travers le discours philosophique de Pangloss, Voltaire se moque :
De la noblesse qui voit tout positivement
Des philosophes trop optimistes, trop déconnectés de la réalité (tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes) Pensée des optimistes : la vie est une fatalité, donc autant la prendre positivement ( à l’opposé des lumières)
Les nobles par Voltaire
Voltaire critique 3 choses chez les nobles :
Leur vanité
Leur étroitesse d’esprit (ne connaissent pas la réalité du peuple)
Leurs privilèges immérités
Pangloss : C’est le personnage le plus étrange. Précepteur du château, il positive tout à l’excès. A travers lui, Voltaire se moque de Leibniz, un penseur de son époque, et plus précisément sur la tradition de pensée concernant la réflexion sur le mal. A l’époque, 3 types de mal sont répertoriés :
Le mal physique (tremblements de terre)
Le mal moral (toujours humains : guerres, viols)
Le mal métaphysique (vient de la nature imparfaite et éphémère de l’homme)
3 penseurs de l’optimisme :
Leibniz : Dieu est parfait, la monde n’étant pas Dieu est imparfait ; néanmoins notre monde est le meilleur des mondes puisque Dieu, dans sa suprême sagesse, n’a pu manquer de choisir le meilleur. Un moindre mal est une espèce de bien.
Wolff : Dieu, lorsqu’il choisit, ne choisit que le meilleur ; S’il a plu à Dieu de choisir ce monde-là, entre tous les mondes possibles, c’est parce que ce monde était le meilleur de tous les mondes susceptibles d’être créés.
Rousseau : toutes les subtilités de la métaphysique ne me feront