Chapitre 1 2
La population fait peur car il y a les problèmes d’émigration. Les territoires peu peuplés, à faible densité connaissent des pbs environnementaux (déforestation) et de répartition des richesses. On est de plus en plus nombreux mais le principal problème est notre mode de vie, de consommation. Le problème est la façon dont on vit et le peu d’intérêt accordé à l’environnement. Au niveau démographique, on assiste à une très forte augmentation de la population mondiale qui est une nouveauté dans l’histoire de l’Humanité, depuis la fin du XXè. La Terre doit faire face à cette nouveauté. La transition démographique s’explique par une très forte diminution de la mortalité infantile. Le taux de croissance démographique mesure l’évolution d’une population sur une période. On voit une stabilisation de cette évolution avec une baisse des naissances car dans certains pays, les enfants constituent une richesse (Afrique). Mais si on a bcp d’enfants et qu’on ne peut leur payer une éducation correcte, ils ne seront plus une richesse, donc on constate une dénatalisation car l’alphabétisation coûte chère. La hausse de la population provoque une pression alimentaire mais c’est surtout notre comportement alimentaire qui fait pression : on consomme bcp plus de viande. D’après A. Sauvy, les ennemis des pauvres sont les animaux mangés par les riches car pour produire cette viande, les animaux sont nourris par des céréales qu’il faut faire pousser. Ces céréales ne nourrissent donc pas la population pauvre mais les animaux mangés par les plus riches. La croissance de la population a des effets sur la hausse des gaz à effet de serre. On exploite de plus en plus de terres et on détruit la nature sauvage. Le chiffre d’espérance de vie est en hausse alors que la dégradation de l’environnement est de plus en plus grave. Le cliché du paradis perdu : autrefois on vivait mieux. L’Homme a détérioré certaines parties de la nature mais il a aussi permis de transformer positivement des