À premier vue, on retrace que Rodrigue vit un dilemme tragique et déchirant dès le début du texte qu’est de sauver son honneur et perdre sa maitresse ou de sauver son amour et perdre un père. D’abord, on découvre la souffrance de Rodrigue qui était exprimée sous des termes de dilemmes alternatifs, avec deux mauvais choix, l’un plus que l’autre. Alors obéir le père et être à la fois le vengeur et la victime de la vengeance, ou laisser un père et suivre une maitresse. Comme on observe, dans les deux premières strophes, le champ lexical qui domine majoritairement est celui de la souffrance, qui vient des termes suivant : «misérable», «malheureux», «peine», ainsi La métaphore de la blessure qui est associée à la souffrance et qui était exprimée par «percé», «atteinte», «mortelle», «abattue», «coup qui me tue». Ce tourment est ainsi substitué par plusieurs thèmes de dilemme, l’amphore de la deuxième strophe «faut-il laisser un affront impuni?», «faut-il punir le père de Chimène», aussi L’énumération «Père, maitresse, honneur, amour» qui signifie que Rodrigue est centré autour de la notion de devoir. Alors, Il pense avoir des devoirs autant envers son père (l’honneur) qu’envers sa maîtresse (l’amour). Après un moment d’hésitation, on trace que Rodrigue pense de fuir par une tentation de suicide puisque les deux idées sont équilibrées et insolubles. Donc, Rodrigue a fait son choix et décide d’aller au suicide pour épargner sa maîtresse et cela exprime qu’il désobéirait son père et au même temps laisser sa maitresse, mais, il est un peu favorable à Chemine puisqu’il ne tuerait pas son père. En remarquant par le verbe «mourir» qui était répétait plusieurs fois à la troisième et la quatrième strophe que la mort serait son choix idéale. En somme, dans cette scène, Rodrigue est un personnage perdu dans le dilemme de suivre son honneur ou son amour. Ensuite, on constate que Rodrigue a choisi la vengeance qui est l’obéissante de son père. Alors, Rodrigue a favorisé le coté