Tout d'abord, le poète nous fait part de l'obscurité de l'intérieur humain. A partir de la deuxième strophe, il y a une personnification de l'âme (vers 5) "notre âme en rêvant descend", "comptant" (vers6) ou encore "sent" (vers 15). L'âme descend donc au plus profond de l'HOmme pour faire en quelques sortes, un bilan de sa vie "comptant (...)chaque douleur tombée et chaque songe éteint," (vers 6-8). L'âme compte donc "comme on compte les morts sur un champs de bataille"(vers7), c'ets une comparaison entre la manière de compter des soldats de l'armée après une bataille et celle de compter de l'âme. On peut donc dire que c'est fait de manière rapide et on obtient un résultat qui n'est pas tout à fait exact. De plus, on compte les mort sur un champ de bataille très grossièrement car il y en a de trop. Un peu plus loin dans le poème, il y a une nouvelle comparaison entre l'âme et une personne qui cherche à l'aide d'une lampe, "comme qql qu'un qui cherche en tenant une lampe" (vers9). Les mauvais souvenirs sont ancrés dans l'Homme dans les endroits les plus obscurs. La lampe est une source de lumière pour l'âme pour qu'elle puisse trouver ce qu'elle cherche. On trouve aussi dans les deux dernières strophes du poème un champ lexical de l'obscurité "obscur","gouffre","sombre" et