Comment gaude nous rappelle la période esclavagiste
Laurent Gaudé né en 1972 est un auteur contemporain. Il a écrit plusieurs œuvres tels que Cris. Il nous rappelle la dette que nous avons envers l’Afrique à travers la nouvelle que nous allons étudier qui se nomme : Le sang négrier. Cette nouvelle nous plonge à l’époque du commerce triangulaire. Cette œuvre nous raconte, comment un jeune second est devenu fou. Il prendra la place du capitaine d’un bateau négrier. Il fera escale pour déposer le corps du capitaine à Saint-Malo. Là, cinq de ses esclaves prendront la fuite. Apres une battu organiser, seul quatre des esclaves seront retrouver. Le dernier, lancera des malédictions sur les personnages qui ont été lié au commerce d’esclave. Ainsi qu’au nouveau capitaine.
Nous allons étudier comment Laurent Gaudé nous rappelle la période esclavagiste, dans un premier temps, nous verrons comment Laurent Gaudé nous place dans la peau du personnage principale et dans un second temps nous étudierons comment montre –il la sauvagerie des esclavagistes et leur coté inhumain.
Dans cette première partie, nous allons étudier comment Laurent Gaudé place le lecteur dans le personnage principal. De prime abord, nous étudierons que la nouvelle adopte un point de vu interne. En effet, ce texte est écrit à la première personne du singulier. Nous pouvons voir cela aux terminaisons verbales : « je ne souris pas », « je ne le sait pas ». Nous remarquons aussi que le texte est écrit à la première personne du singulier, le pronom « je » est présent tout au long de l’extrait. D’autre part, le texte est à