JONATHAN BÉLANGER

« Comment perçois-je les êtres humains? »
L’humain est un être complexe. Dépendamment de notre milieu de vie, notre richesse, notre emplacement dans le monde, nous nous différencions des autres. Ces différences font en sorte qu’il est difficile de percevoir le monde comme un ensemble homogène, mais plutôt comme un regroupement de plusieurs groupes différents qui vivent ensemble. Donc des êtres différents les uns les autres. Dans ce texte, il sera d’abord question de la perception de l`être humain, puis de savoir si les l’organisation de notre société sont adéquat favoriser l’épanouissement de celui-ci.
Je crois que la perception de l’être humain diffère d’un individu à l’autre, d’abord dépendamment du groupe social duquel il fait partie. En effet, je ne pense pas qu’un itinérant aurait la même perception du monde que moi; chacun d’entre nous a une perception du monde différent à cause de son entourage, ses expériences, etc. De plus, comme mentionné dans l’introduction ci-haut, je ne crois pas possible d’avoir une seule perception globale de l’être humain. Il serait inadéquat de comparer un riche à un itinérant, au même titre qu’un professeur et une prostituée. Par contre, malgré les différences qui nous éloignent, chaque être humain est motivé par son épanouissement personnel. La pyramide de Maslow nous en apprend plus sur les besoins primordiaux de l’homme; celui de se nourrir, d’avoir un toit, ceux d’ordres sociaux, la confiance en soi, l’accomplissement, etc. C’est en répondant à ces besoins précis que l’être humain s’épanouît, et c’est exactement la perception que j’ai de l’être humain. Oui, je ne crois pas qu’il soit possible de comparer équitablement un riche d’un pauvre, mais je crois que les deux font tout ce qui est en leur pouvoir afin de répondre à leur besoin et d’être heureux, ce qui leur est fondamental. Il est faux de croire qu’un être humain se veut lui-même du mal, et ce n’est pas parce que quelqu’un ne dispose pas de moyens