Commentaire composé : "a une passante" de charles baudelaire
Introduction.
'A une passante' est un poème tiré du recueil les 'Fleurs du Mal' de Charles Beaudelaire écrit en 1957. La section d'ou est tiré le poème est 'Tableaux Parisiens', ce qui signifie que le poère choisit pour cadre Paris et en fait une représentation picturale.
Il n’appartenait pas à la première édition des Fleurs du Mal (1857). Il a été introduit par Baudelaire dans la réédition augmentée de 1861.
Beaudelaire fut le premier poète à révolutionné le sonnet en y introduisant des thèmes comme les rues, les cafés.
Ici, le schéma métrique est assez particulier puisque les quatrains sont séparés au niveau du snes mais reliés par un enjambement.
Ce poème est un sonnet composé de 2 quatrains et de 2 tercets.
Ce sonnet est basé sur un thème romanesque, récurrent dans la littérature : celui de la rencontre amoureuse. Baudelaire rencontra 3 femmes importantes dans sa vie, Jeanne Duval, Marie D'aubrun et Mme de Sabatier.
Ici, la rencontre amoureuse est plutôt est apparition, elle est fugitive. A une passante est le récit d’une rencontre amoureuse, d’un « coup de foudre » à la manière des romans.
Un sonnet est constitué de 2 quatrains à rimes embrassées et de 2 tercets.
Le schéma d'A une passante est assez particulier puisque les quatrains sont séparés au niveau du sens mais sont reliés par un emjambeme.
Le thème abordé dans ce sonnet est la rencontre amoureuse, thème récurrent dans la littérature. Cette rencontre est inatendue et fugitive. Le schéma métrique de « À une passante » est assez particulier : A’BBA-CDDC-AEA-EA’A’. Ce que le sonnet perd en cohérence puisque les rimes ne sont pas semblables dans les deux quatrains, il le regagne très largement grâce aux retours dans les tercets de A et A’(« hurlait » v. 1 ne constitue qu’une assonance très riche par rapport à « ourlet » v. 4) et grâce à la très grande densité des rimes internes(« assourdissante » v. 1, « Soulevant, balançant » v. 4 préparent la rime DD ; «