Commentaire composé sur l'albatros de baudelaire
I- La cruauté La cruauté est un thème omniprésent dans ce poème. Ces actes cruels sont commis par les hommes, plus précisément par les marins sur l’albatros, un « vaste oiseau des mers ». La cruauté est amenée dans le texte par les Marins. En effet, ces derniers, « pour s’amuser », capturent les Albatros qui les suivent pendant leur périple et leur infligent des humiliations comme « agacer son bec avec un brûle gueule » ou bien en se moquant de lui « l’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ». De plus, on peut penser que « ces hommes d’équipages » se permettent de tel s gestes car ils sont dans leur environnement : la mer. Le champ lexical de la navigation vient nous conforter dans cette idée. Nous avons donc « les hommes d’équipage » v1, « des mers » v2, « le navire » v4, « aviron »v8 et « tempête »v14. Nous voyons également que c’est un jeu courant grâce au premier mot du poème : « souvent ». Cet acte est cruel mais il l’est d’autant plus s’il est habituel. Par ailleurs, le verbe prendre au début du deuxième vers nous montre la facilité du geste. Cette facilité montre le sadisme de ces hommes car les oiseaux n’ont pas autant d’armes que leurs bourreaux pour se défendre. Les victimes de l’acte cruel sont les albatros. Dans le poème nous pouvons voir que « ces