Je trouve que l'intervention de perte est nécessaire, car cela fait du bien au condamné. Pendant leur discussion, le prêtre le lui demanda : — croyez-vous en Dieu et en la Sainte Église catholique? . Le prisonnier a répondu oui à ces questions, mais le prêtre a vu un peu de doute dans son visage. Selon moi, à la suite de cette question, le prêtre lui a expliqué que s’il croyait vraiment en Dieu, qu'il ne devait pas avoir peur de la mort, car il ira au paradis s'il se fait pardonner. Je pense que le prêtre a dit ça, car selon le prisonnier, le prêtre avait l'air de réciter une leçon, déjà récitée vingt fois. À l'Église, ce message est souvent cité. Je pense que cela la rassurait. L'intervention lui a, également, permis de réaliser que parmi tous les hommes, le prêtre est le seul qui est encore homme pour lui. Si le prêtre ne lui avait pas parlé, avant la mort, il posséderait des regrets jusqu'à son denier souffle. Je pense que, maintenant, il pourra avoir un peu de paix avant la mort. Avant la mort, il pensera à ce qu'il a accompli et non à ce qu'il n'a pas accompli. Prenons l'exemple du verre à moitié vide et du verre à moitié vide. Le condamné voyait le verre à moitié vide, car, parfois, il était désespéré et très malheureux. Avec l'aide du prêtre, je pense qu'il va voir le verre à moitié plein, car il va se rappeler de moments vertueux passés avec ses