Commentaire littéraire lettres persannes (lettre 30)
A travers ce texte, nous verrons en quoi cet extrait des Lettres persanes est-il caractéristiques de l’esprit des lumières.
I - critique des parisiens grâce au pt de vue de Rica (champs lexical du regard)
1) Regard des parisiens sur Rica
Les parisiens le regardent « comme si il avait été envoyé du ciel » (l.3)
La gradation « vieillards, hommes, femmes, enfants » montre n’est indifférent à Rica.
L’anaphore « Si je sortais […] si j’étais aux Tuileries […] si j’étais aux spectacles… » dépeint le fait qu’il ne peut aller nulle part sans être le centre de l’attention.
Les parisiens font de Rica une bête de foire en exposant ses portraits partout (l.15-18).
2) Regard de Rica sur les parisiens
Dès le début du texte, Rica expose son opinion en écrivant que « les habitants de paris sont d’une curiosité qui va jusqu’à l’extravagance » (l.1) ce qui les définit de manière péjorative.
A la ligne 11, Rica se moque des parisiens insinuant leur manque de culture en disant : « je souriais quelque fois d’entendre des gens qui n’étaient presque jamais sortis de leur chambre, qui disaient entre eux : il faut avouer qu’il a l’air bien persan. ».
Il ponctue cette critique déguisée d’ironie par la phrase nominale « Chose admirable !» (l.15).
Transition : Montesquieu ne se sert pas du regard uniquement pour décrire la différence entre les deux cultures, il s’en sert également pour