Commentaire "soleils couchants" victor hugo
Introduction
La poésie du XXe siècles prend généralement son inspiration dans des thèmes fort de la vie quotidienne tels que la nature, le temps, Le vent et les fenêtres font parties de ces thèmes, et Pierre Reverdy ( 1889-1960 ) a décidé de en faire une poésie publiée en 1916 : «Il reste toujours quelque chose », faisant partie de son ouvrage « La lucarne Ovale », Il est un poète Français, associé au cubisme et aux commencements du surréalisme, Dans ce recueil, il est question d'une séparation d'un couple dont la fenêtre est ouverte, et où le vent se fait entendre. Nous allons d'abords abordé la personnification omniprésente dans ce poème, plus particulièrement la maison. Ensuite nous verrons de quoi cette personnification est sujet, une séparation amoureuse.
I La personnification omniprésente,,,
Une maison « lugubre » est personnifié de l'extérieure et de l'intérieure, dès le début du texte (v1-6),
En fin de poème on peut constater, que le décor prends en compte l'évènement tragique qui s'y passe. (v11-24)
Décor intérieure et extérieure dans la mélancolie.
P.Reverdy, met en avant dès le début du texte la complicité du décor intérieure et exterieure.
On remarque que la fenêtre joue un rôle important, en effet elle est comparé a une frontière entre l'intérieure de la demeure, et l'extérieure.
Le cadre spatio-temporel, comme le soir, le vent ou l'hiver est mit de façon mélancolique. En effet on peut imaginer qu'ils sont symbole de la mort ou de la tristesse. « vent lugubre » ; « les soirs d'hiver » ; « le soir tarde a descendre »,
L'intérieure et l'extérieure sont présentés de façon harmonique, et soulignés par « et la maison s'endort ; vide au milieu du vent » (v,23-24)
personnification d'une maison, dénudé d'amour
Le poète personnifie la maison, met en vers les sentiments qu'elle éprouve : «la maison vide pleure » (v,14) ; les cheminées des maisons sans âme pleurent les