Commentaire sur la conscience et l'inconscience d'alain
Ce texte dégage comme réflexion les liens possibles ou impossibles entre la conscience et l'inconscient. Mais avons-nous une part d'inconscient ? Ou sommes nous toujours conscient et sujet à ce que l'on fait ?
Pour Alain, la conscience est propre à l'homme et c'est ce qui lui permet de juger, de décider par lui même. La conscience est une pensée. Comme l'affirme Descartes, dans l'affirmation du Cogito " Je pense donc je suis", Alain dit que si quelqu'un ne se demande pas s'il pense alors il n'existe pas entant qu'être humain, entant qu'être unique. En ce cas, penser, permet à l'homme d’exister en ayant la conscience qu'il pense et qu'il est. La conscience faire dont l'homme et son existence.
Cependant, il semble y avoir une "autre conscience" qui détermine Alain " La conscience est toujours implicitement morale", ce qui souligne que l'homme a donc une conscience moral lui permettant de juger ce qui est bon ou mauvais pour son intérêt et ceux d’autrui. Mais alors "l'immoralité consiste toujours à ne point vouloir penser qu'on pense, et à ajourner le jugement intérieur."
Selon Alain, l'homme est toujours conscient de ce qu'il pense, et qu'il serait capable de mettre de côté un jugement par lui même par sa propre volonté.
Dans un autre cas, l'inconscient, selon Alain, résulterait d'un non questionnement de soi-même sur soi-même. Or une personne consciente, donc un sujet vivant, ne peut se poser de tels questions, c'est ce qu'il explique " le recul de soi-même permet de se connaître et de se juger (...)". Qui résulte de la conscience et anéantie l'idée d'un inconscient probable.
Alain, en effet, nous démontre l'existence unique de la conscience, qui elle seule, régit chez l'homme et lui permet d'agir par ses jugements. Notamment lorsqu'il prend l'exemple " ai-je été lâche en de tels circonstances ? Je le saure si je veux y regarder " souligne l'idée que l'homme agit en fonction de ce