COMPTABILITE
L’assiette de l’impôt : c’est la base de l’imposition par exemple une richesse comme un revenu, un capital, un patrimoine. Plusieurs types d’impôt peuvent être établis à partir de l’assiette : l’impôt réel et impôt personnel. L’impôt réel est assit sur des biens (appartement, cheval de course) alors que l’impôt personnel est pris en considération de la personne (par ex en matière de droit de succession, ils dépendent du lien de parenté avec la personne décédée donc le taux d’imposition dépend de cela). Autre distinction : impôt sur le capital et impôt sur le revenu. L’impôt sur la capital frappe sur la richesse accumulé (ISF) alors que l’impôt sur le revenu frappe la richesse en voie d’acquisition notamment celle produite par le travail du contribuable (impôt sur le revenu, ou impôt sur les sociétés). Dernière distinction : impôt spécifique et impôt ad valorem. L’impôt spécifique est assez rare et est perçu sur l’unité matérielle du produit frappé par l’impôt (ex : impôt qui frappe les alcool en fonction de leur degré) alors que l’impôt ad valorem perçu sur la valeur du bien (ex : impôt sur la valeur de l’alcool).
La liquidation : c’est la détermination du montant de l’impôt c’est à dire que l’on va déterminer combien l’on doit à l’Etat. Plusieurs types d’impôt : l’impôt de répartition et impôt de quotité. L’impôt de répartition est que le montant de l’impôt fixé par le législateur et réparti sur l’ensemble du territoire alors que l’impôt de quotité est le taux d’imposition fixé. Autre distinction : impôt proportionnel et progressif. L’impôt proportionnel est perçu à partir d’un taux fixe qui ne bouge pas (ex : impôt sur les sociétés à un taux fixe de 33.33%) alors que l’impôt progressif est perçu avec un taux qui va progresser de manière croissante (impôt sur le revenu).
Le recouvrement de l’impôt : c’est le fait payer l’impôt, c’est une opération matérielle qui clôt l’opération fiscale. Plusieurs types d’impôt :