Corpus français - lettres persanes - pensées - discours sur l'origine...
Le premier texte expose une vision critique de la société française. En effet, la France est vue d’un regard extérieur faussement naïf : les habitants du Nouveau Monde sont considérés comme barbares par les Français alors que leurs façons de faire sont plus humaines. Pour les Européens, être civilisé repose seulement sur les vêtements (« […] mais quoi, ils ne portent point de hauts-de-chausses »). L’auteur fait preuve ici de tolérance et de relativisme.
Le second texte est une réflexion philosophique. Ici, l’Homme se réfugie dans le divertissement afin d’oublier sa mortalité, ses responsabilités importantes ainsi que ses différentes causes d’angoisse (« […] si il est sans ce qu’on appelle divertissement, le voilà malheureux, et plus malheureux que le moindre de ses sujets, qui joue et qui se divertit »). Il s’agit d’une réflexion philosophique et morale contrairement au texte de