Corpus roman XIXe siecle
Ces trois extraits nous laissent deviné différent portraits basées sur le réel qui subit une transposition .
Tout d'abord, dans le Texte A, Balzac a recours a un portraits statique pour presenter le vieux soldats , l'absence de verbe d'actions et l'abondance de verbes d'état « etait » montre que l'action est fixé sur le personnage , afin de mieux le décrir .
Le portrait est alors effectuer par un narrateur exterieur .
Le narrateur se place en veritable observateurs, et dans une vision realiste, il choisit un point de vue qui présente le portrait du colonel avec un maximum d'information sur le personnage
Dans un premier temps le portraits physique fait de maniere realiste en commencent par la silhouette « sec et maigre » ou encore son visage « le visage pale » « livide » « en lame de coteau » « front volontairement caché sous les cheveux de sa perruque »
L'auteur veut nous montrer donc un personnage morbide pour cela il porcéde a une transposition avec l'idée de la mort premierement par le registre macabre : l'oxymore clair-obscur , sublime horeur ou encore le champs lexical de la mort : rides blanches, les sinuosités froides, le sentiment décolorés ou encore cette physionomie cadavereuse
Ainsi l'auteur nous montrent une réaliter a connotation morbide
Ensuite dans le texte B, Victor Hugo utilise le narrateur de facon a ce qu'il prennent entierement en charge le portrait qu'il fait de son personnage, insiste sur la bizarrerie de ce rire