Cours Sur La Conscience Et L Inconcsience
Première axe :
Première sous partie :
Différence entre la conscience philosophique et conscience immédiate. Alain définie la conscience philosophique comme : « LE savoir revenant sur lui-même et prenant pour centre la personne elle – même. Le sujet s’apréandre en tant que conscience, en tant qu’il est douée de conscience ». A partir de la conscience de sois, on peut faire la disctinction entre le « je » et le moi. On dira que le «je » est la condition logique du « moi ». LE sujet, l’homme est d’aboord un je, devient un moi au moment où il prend conscience de lui-même. La distinction entre le « je » et le « moi » suppose que l’homme est capable de ce regardée lui-même, de regardée en soit. L’introspection, qui est un acte de déboublement, découle de la possibilité pour un sujet de ce prendre lui-même pour objet de connaisance. Cela correspond aussi à ce qu’on appelle la conscience thetique. Ce dédébloulement n’est pas immédiatement possible, la conscience thétique apparait au alentours de 6 mois, au travers de ce qu’on appelle le stade du mirroire. L’enfant reconnait l’image, il ce reconnait dans le reflet face à lui. . Le « je » philosophiquement désigne donc le sujet en tant qu’il est source d’activité, en tant qu’il est condition de toutes les représentations. Le moi sera l’image (la représentation) que le sujet à lui de lui-même à un moment donnée. Le « je » ne suppose pas le dédoublement de la conscience, mais il faut un « je » pour qu’il y est un « moi ». Le « je » est premiers et le « moi » es second.. LE « je » est universelle quand le « moi » est singulier. Le « moi » correspond au concept d’identité. C’est-à-dire, ce que je suis, ce qui me caractérise, mes qualités (dans le sens logique, ce que j’ai en propre), et donc ma personnalités. Dans cette expérience fondamental du retour sur soit, Kant nous indique que « le je fait l’expérience de l’unité de sa conscience ». La conscience oppère la synthèse de la