Avec un seul super-héros de franchise fait une apparition motion en 2009 (Wolverine), Push peut-être parmi les meilleures options disponibles pour les fans du genre cinématographique en plein essor. Un concept original qui n'est pas basé directement sur les bandes dessinées ou romans graphiques, Push sent néanmoins comme une adaptation et des similitudes entre le concept de film et la série TV Heroes sont difficiles à manquer. Push est clairement conçu pour être le premier chapitre d'une saga en plusieurs parties, mais, contrairement Jumper l'an dernier, elle couvre ses arrières assez de sorte que si il n'ya pas de versements futurs, au moins il ya un degré de fermeture.
Le film est doté d'un rythme effréné qui accomplit simultanément deux choses: il garde le haut niveau d'énergie tout en obscurcir certains des défauts les plus évidents dans la structure logique de la parcelle. Ceux-ci viennent à la lumière quand le film est examinée avec le recul, mais ne sont pas un inconvénient majeur à la jouissance du spectateur moyen comme l'histoire se déroule. Directeur Paul McGuigan et le scénariste David Bourla ont conçu le film de telle manière que les arcs des personnages ne sont pas linéaires. Je n'ai jamais été certain exactement ce qui allait se passer, et que ce facteur a permis Push de maintenir mon intérêt.

Dans le monde de Push, il ya une variété d'êtres humains avec des capacités anormales qui parsèment la population en général. Ces individus doués possèdent une grande diversité d'esprit des compétences liées à la télépathie, la télékinésie, clairvoyance et, et sont classés par noms comme "observateurs" (qui peut prédire l'avenir), les "forces" (qui peut changer les éléments physiques avec leurs esprits), "pousseurs" (qui peuvent influencer les pensées des autres), "shifters" (qui peut changer l'apparence des choses), et «piqueuses» (qui peut guérir). Le gouvernement est conscient des personnes atteintes de ces capacités et a mis en place un département à