Une première critique concerne la distinction entre pouvoir législatif et pouvoir exécutif. Selon certains auteurs, cette séparation aurait aujourd’hui complètement changé ; car depuis le 18ème siècle, le rapport de force entre les deux fonctions a complètement changé. Au sein des états contemporains, le pouvoir exécutif est prédominant, car il détient dans les régimes parlementaires, le pouvoir d’initiative ce législative et parce que dans des sociétés de plus en plus complexe, le pouvoir exécutif a à sa disposition une administration performante et qui permet d’élaborer des projets de lois et donc de les initier alors que le Parlement ne détient pas les mêmes techniques au sein de ces organes.
Deuxième critique : Certains auteurs remettent en cause la force d’équilibre entre le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif. La majorité au Parlement est la même qu’au sein des gouvernements ; finalement les pouvoirs principaux au sein de l’État sont détenu par des représentants de la même force politique, ce qui constitue un frein à l’équilibre qui doit exister entre ces deux pouvoirs.
Troisième critique : Elle remet en cause la réalité du pouvoir juridictionnel / judiciaire, mais on doit distinguer entre les pays ‘romano-germanique’ et les pays anglo-saxon. Quatrième critique : Certains affirment qu’il existe d’autres pouvoirs, à côté des trois autres traditionnels. Certains attribuent des pouvoirs aux médias, aux groupes de pression. Les médias ont une influence importante sur le résultat des élections.
Une première critique concerne la distinction entre pouvoir législatif et pouvoir exécutif. Selon certains auteurs, cette séparation aurait aujourd’hui complètement changé ; car depuis le 18ème siècle, le rapport de force entre les deux fonctions a complètement changé. Au sein des états contemporains, le pouvoir exécutif est prédominant, car il détient dans les régimes parlementaires, le pouvoir d’initiative ce législative et parce que dans des sociétés de