Depend til de nous d'etre heureux
C’est ce qui pousse John Stuart Mill à établir une équation entre bonheur général de la société et bonheur individuel des citoyens, dans son livre L’utilitarisme (1871).
En tant que conséquence d’une vie vertueuse, on doit donc rechercher le bonheur. Bien qu’il soit le propre de l’homme social et raisonnable, celui-ci doit rechercher le bonheur à travers une vie vertueuse, guidée par la morale et la raison.
Aristote, parlera du bonheur comme un « souverain bien » de la vie humaine. Cela signifie que le bonheur est une finalité suprême que tout homme se doit d’essayer d’atteindre.
Possibilité : L’homme est un animal rationnel et son bonheur est conçu individuellement. Ici la raison ne procure pas nécessairement le bonheur. En effet, l’homme doit être libre pour déterminer ce qui le rend heureux. Le bonheur serait alors un idéal subjectif de l’imagination et non de la raison. C’est pour cela qu’il n’y a pas de relation entre le bonheur et la raison. Chaque individu conçoit le bonheur et essaye de l’atteindre à sa façon.
Par exemple, selon Kant, on ne peut qu’essayer de se rendre digne du bonheur en menant une vie raisonnable.
En tant que conséquence possible mais non nécessaire d’une vie raisonnable, on ne peut qu’espérer trouver le bonheur et non pas le rechercher pour lui-même. C’est par ses actions quotidiennes, que l’homme pourra trouver son bonheur.
Selon Spinoza, la liberté est une condition du bonheur. Il faut pouvoir se sentir un minimum libre pour espérer être