Cher Auregan,

Comme tu le sais, je t’écris de cette belle vieille France sur cette planète Terre. Je ne te pose pas de questions qui pourrait être inutile, je te fais confiance pour relater tout ce qui m’échappe d’ici, dans ta prochaine correspondance. Il est 17h55 et je viens de prendre place dans ce qu’on appel « un café » à l’angle d’une ruelle. Après m’être laissé engouffrer dans le métro parisien, un trou dans le sol, où s‘y loge un espèce de wagon qui permettrait aux individus de ce déplacer plus vite, d‘un point à l‘autre. Depuis ma table, je peux entrevoir des gens qui font du son pour que la foule se comprime. J’observe aussi, des tenues des plus extravagantes au plus classiques, il y‘a une certaine décadence. Certains individus mangent avec des couverts, tandis que d‘autres ont entre les mains des morceaux de pain qu‘ils engloutissent. Certains suivent le troupeau et se font traînés par un effet de masse, alors que d’autre sont garés en double file. C’est comme un scoop c’est plus qu’un fait divers, crois moi, on va se foutre de toi si t’as pas de copains, et les derniers vêtements. Je regarde la rue, en long, en large en travers. Ho, qu’elle est belle la terre, dans cette rue marécage, il n’y’a plus d’espaces, on dirait que la bataille à fait rage, je parle d’anesthésie social. Ici, les gens se disent vaillant, on vit sous caméra. Je vais d’abords te parler de l’homme averti qui est en face de moi, il suit une trajectoire bien déterminer, on dirait qu’il est surhumain. A ton avis, Est-ce que son corps évite les balles ? Sa démarche et sa toilette doivent insinuer qu’il est bon et que tout les autres sont des gros imbéciles. Il est tellement déterminer qu’on à l’impression qu’il part en Californie exterminer terminator, à la poursuite du bonheur. Je viens de m’apercevoir que les trois quart des gens qui m’entourent se ressemblent. Ils se mentent a eux même, il se trahissent eux même, essayant d’échapper a ce qu’il sont au fond. On dit que c’est le